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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 23:15

Transcription des registres de réception des militaires – de tous grades -
ayant participé à des guerres,
nés en France ou à l’étranger, reçus à l'hôtel des Invalides à Paris entre
1673 et 1796.
(principalement Allemands, Anglais, Belges, Ecossais, Irlandais, Italiens,
Suisses)

Cote S.H.D.

2Xy10

Acte n°

004571a

Reçu à l'hôtel le

30 Janvier 1688

Acte

Annet Bouchon dit St Prix, agé de 50 ans, Natif de St Prix des Champs [63388] dioceze de Clermont en Auvergne, Soldat du Chevalier de Genetine, Regiment Lionnois, ou il à Servi 10 ans portez dans son certificat, et auparavant dit avoir Servi 7 ans dans Normandie, est fort incommodé d'une dessente provenant d'un effort qui s'est fait en travaillant aux travaux du Roy à Luxembourg [99137], et est Catôlique
- Renvoyé on luy a donné 12 l. pour se conduire

Lieu déduit

St Priest des Champs.

Statut acte

Acte recopié en intégralité et vérifié
Pas de données complémentaires

Mots-clés

Bouchon; Saint Priest des Champs; Puy de Dôme; LUXEMBOURG; 63388; 99137

Cote S.H.D.

2Xy18

Acte n°

025781

Reçu à l'hôtel le

26 Octobre 1714

Acte

Pierre Bourdier dit Grandmaison, âgé de 50 ans, Natif de St Prié Deschamps [63388] dioceze de Clermont en Auvergne, Cavalier du Sieur de Fronsac, Regiment Royal, ou il à Servi 12 ans et auparavant 13 ans, dans Wilz et Romainville, Le tout portez dans Son Certificat, est trés Incommodé de Ses blessures joint a Ses Infirmitez le mettent hors de Service, et est Catôlique
- Cavallier

Lieu déduit

St Priest des Champs.

Statut acte

Acte recopié en intégralité et vérifié
Pas de données complémentaires

Mots-clés

Bourdier; Saint Priest des Champs; Puy de Dôme; 63388

Cote S.H.D.

2Xy18

Acte n°

026044

Reçu à l'hôtel le

28 Décembre 1714

Acte

Jean Mercier dit St Prié, âgé de 75 ans, Natif de St Prié des champs [63388] dioceze de Clermont en Auvergne, Brigadier du Sieur d'Henin, Regiment de Noailles duc, ou il à servi 26 ans et auparavant 8 ans dans Rassent, Le tout portez dans Son Certificat, Ses blessures joint à Ses Incommoditez le mettent hors de Service, et est Catôlique
- Cavalier
- Le 10 Mars 1733. Il est Decedé

Lieu déduit

St Priest des Champs.

Statut acte

Acte recopié en intégralité et vérifié
Pas de données complémentaires

Mots-clés

Mercier; Saint Priest des Champs; Puy de Dôme; 63388

Cote S.H.D.

2Xy07

Acte n°

000340

Reçu à l'hôtel le

11 Juillet 1676

Acte

Gervais Arbitre dit St Priés natif de St Prix des champs [63388] en Auvergne diocese de Clermont agé de 30 Ans Soldat de la Comp.ie de de Combes capp.ne au regiment de Navare ou il a servy 3 années avoit auparavant servy dans le regiment de Picardie comp.ie de Perrelle 3 années a esté blessé a la main droitte d'un coup de mousquet qu'il y receut estant commandé en party duquel coup il est demeuré estropié, comme il apert par les Certificats de son cap.ne et du Sr Benoist Commissaire des Guerres dont il est porteur dattes du 27 Juin d.er ce qui le met hors d Estat de pouvoir continuer ses services est aussy porteur du passeport de Mr de Montplaisir Lieutenant au gouvernement d'Arras [62041] aprouvé par M.r de Bar le 30 Juin d.er n'est pas marie et est Catolique
- Receu comme soldat le 11 J.et 1676
- Ce soldat a deserté et emporté son habit et son linge le p.er 9bre 1676 ainsy que les autres debauches par St Amand voyes le p.er Volume 138

Lieu déduit

St Priest des Champs.

Statut acte

Acte recopié en intégralité et vérifié
Pas de données complémentaires

Mots-clés

Arbitre; Saint Priest des Champs; Arras; Puy de Dôme; Pas de Calais; 63388; 62041

Acte

Jacques Dastorgue, agé de 70 ans, natif de St Priés des Champs [63388] prés Clermont en auvergne,

Lieu déduit

St Priest des Champs.

Statut acte

Acte succinct en cours de saisie
Pas de données complémentaires

Mots-clés

Dastorgue; Saint Priest des Champs; Puy de Dôme; 63388

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23 janvier 2014 4 23 /01 /janvier /2014 23:59

Mort pour la France

VALANCHON Jean-Baptiste, né le 22 septembre 1889, à Jouhet, commune de Saint-Priest-des-Champs, célibataire. Fils de Jean et de Marie BARGE, cultivateurs à Jouhet.

Soldat. Matricule 1481 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 105e Régiment d’Infanterie, passé au 16e R.I., 6e Cie, le 19 mai 1915, passé au 201e R.I., 6e Cie, le 1er juillet 1915.

Tué à l’ennemi, le 28 mai 1918, sur le champ de bataille au secteur nord-est de Soissons (02).

L’acte a été transcrit, à Saint-Priest-des-Champs, le 5 novembre 1919.

Ils sont revenus

BERAUD François Joseph, né le 30 août 1889, à Lasciouve, commune de Saint-Priest-des-Champs, maçon. Décédé, le 27 avril 1928, à Saint-Priest-des-Champs. Fils de Marien et de Marie POUMEROL, cultivateurs à Lasciouve.

Soldat. Matricule 1477 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 16e Régiment d’Infanterie.

Contre l’Allemagne, du 3 août 1914 au 16 août 1914.

BOUDOL François, né le 1er octobre 1889, à Perol, commune de Saint-Priest-des-Champs. Marié le 3 novembre 1921 à Mancy (51), avec Marie Anne Louise HUROT. Décédé à Nohanent, le 5 juin 1957. Fils de Michel, né le 28 février 1839, à Perol, Saint-Priest-des-Champs, et de Marie DURON, née le 3 juin 1851, à Saint-Gervais-d’Auvergne, mariés à Saint-Priest-des-Champs, le 19 février 1876, cultivateurs à Perol.

Mobilisé, le 1er décembre 1914, à la 13e Section d’Infirmiers Militaires, passé au 105e Régiment d’Infanterie, 28e Cie, le 10 mars 1919.

Fait prisonnier, le 7 juin 1916.

Contre l’Allemagne, du 1er décembre 1914 au 6 juin 1916 et du 14 janvier 1919 au 1er août 1919.

En captivité à Cassel, du 7 juin 1916 au 13 janvier 1919.

DANIEL Pierre Annet Sylvain, né le 14 août 1889, à Gandichoux, commune de Saint-Priest-des-Champs, menuisier. Fils de Pierre, né à Saint-Gervais, le 11 avril 1859, et de Marie Jeanne Eugénie BARSSE, née le 29 octobre 1851, à Gandichoux, saint-Priest-des-Champs, mariés à Saint-Priest-des-Champs, le 11 mars 1886, cultivateurs à Gandichoux.

Soldat. Matricule 2093 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 15 février 1915, au 38e Régiment d’Infanterie, passé au 28e Bataillon de Chasseurs à Pied, le 23 février 1915, passé au 121e R.I., le 1er juillet 1917.

Détaché au titre du dépôt des métallurgistes à Lyon, le 3 février 1917.

Passé, le 7 février 1917, à l’usine Claude DUMAS à Saint-Rémy-sur-Durolle. Passé, le 1er octobre 1918, à la Maison FODIAC à Puteaux.

Contre l’Allemagne, du 15 février 1915 au 2 février 1917.

FAURE Pierre, né le 13 octobre 1889, à Retailhat, commune de Saint-Priest-des-Champs. Fils de Jean, né le 16 novembre 1858, à Retailhat, Saint-Priest-des-Champs, et de Marie PEROL, née le 29 juin 1866, à Retailhat, Saint-Priest-des-Champs, mariés à Saint-Priest-des-Champs, le 4 février 1886, cultivateurs à Retailhat.

Soldat. Matricule 1488 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 15 février 1915, au 105e Régiment d’Infanterie, passé au 172e R.I., le 5 mars 1915, passé au 105e R.I., le 21 décembre 1918.

Contre l’Allemagne, du 15 février 1915 au 17 mars 1919.

GILLET Annet Jean, né le 2 août 1889, à Lamazière, commune de Saint-Priest-des-Champs. Marié le 16 février 1922 à Saint-Priest-des-Champs, avec Gilberte Léonie PEROL. Fils de Pierre, né le 9 octobre 1852, à Lamazière, Saint-Priest-des-Champs, et de Marie TARDIF, née le 21 juillet 1860, à Carton, Saint-Priest-des-Champs, mariés à Saint-Priest-des-Champs, le 5 février 1888, cultivateurs à Lamazière

Soldat. Matricule 2094 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 15 février 1915, au 16e Régiment d’Infanterie, passé au 171e R.I., le 21 février 1915, passé au 1er Groupe d’Aviation, le 5 septembre 1916, passé au 13e E.T.E.M., le 4 décembre 1917.

Détaché, le 1er janvier 1916, au titre de la Société Alsacienne à Belfort.

Contre l’Allemagne, du 15 février 1915 au 31 décembre 1915.

PAILLOUX François Xavier, né le 22 octobre 1889, au Bladeix, commune de Saint-Priest-des-Champs. Fils de Jean et de Marie PAILLOUX, cultivateurs au Bladeix.

Soldat. Matricule 2096 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 29 mars 1915, à la 13e Section d’Infirmiers Militaires, passé au 53e Régiment d’Artillerie de Campagne, le 10 juin 1915, passé au 1er R.A., le 29 août 1915, passé au 34e R.A., le 6 septembre 1915, passé au 51e R.A., le 12 janvier 1917, passé au 45e R.A., le 1er octobre 1917, passé au 177e R.A., le 1er avril 1918.

Blessé, le 9 avril 1916.

Contre l’Allemagne, du 29 mars 1915 au 15 mars 1919.

SABY Jean Marie, né le 26 mai 1889, à Laroche, commune de Saint-Priest-des-Champs. Marié le 16 juillet 1922 à Saint-Priest-des-Champs, avec Justine Claire Clémentine CHANUT. Décédé à Aigueperse, le 9 octobre 1919. Fils de Jean et de Catherine REGNAT, cultivateurs à Laroche.

Soldat. Croix de guerre avec étoile de bronze. Matricule 1464 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 16e Régiment d’Infanterie.

Cité à l’ordre du régiment, n° 340 en date du 24 octobre 1916 : « A fait preuve d’une grande intrépidité au cours de l’attaque du 10 octobre 1916 ».

Contre l’Allemagne, du 3 août 1914 au 5 août 1919.

TAYTARD François Félix, né le 23 mars 1889, à Gandichoux, commune de Saint-Priest-des-Champs, boulanger. Décédé, le 30 décembre 1924, à Saint-Priest-des-Champs. Fils de Marien Noël, né le 25 décembre 1865, à Gandichoux, Saint-Priest-des-Champs, et de Jeanne Marie NÉNOT, née le 21 avril 1860, à Visignol, Saint-Priest-des-Champs, mariés à Saint-Priest-des-Champs, le 27 mai 1888, cultivateurs à Gandichoux.

Soldat. Croix de guerre avec étoile de bronze. Matricule 1455 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 98e Régiment d’Infanterie de Roanne.

Cité à l’ordre du Régiment, n° 7 en date du 21 janvier 1917 : « A fait la campagne sans interruption depuis le 2 août 1914 comme combattant dans le rang ; A pris part à toutes les actions dans lequel le Régiment a été engagé ; Sarrebourg, Les loges, Verdun, La somme. S’est toujours conduit en soldat brave et dévoué ».

Contre l’Allemagne, du 3 août 1914 au 21 juillet 1919.

THUEL Marien Eugène, né le 1er septembre 1889, à Lasciouve, commune de Saint-Priest-des-Champs, maçon, chauffeur à la Société du Gaz de Paris. Fils de Michel, né le 16 avril 1846, à Perol, Saint-Priest-des-Champs, et de Charlotte Françoise BELLARD, née le 1er novembre 1860, à Lasciouve, Saint-Priest-des-Champs, mariés le 28 février 1863 à Saint-Priest-des-Champs, cultivateurs à Lasciouve.

Soldat. Médaille Commémorative des Opérations du Maroc avec agrafe « Maroc », décret du 12 mai 1912. Matricule 1478 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 7 août 1914, à la 13e Section d’infirmiers Militaires (13e Groupe Spécial), passé au 1er Bataillon d’Infanterie Légionnaire d’Afrique, le 6 novembre 1914, passé au 4e B.I.L.A., le 12 août 1915, passé au 82e R.I., le 6 mars 1916, passé au 89e R.I., le 1er juin 1916, passé au 2e Régiment de Zouaves, le 11 juillet 1917, passé au 1er R.Z., le 8 avril 1919.

Contre l’Allemagne, du 7 août 1914 au 3 juillet 1919. Au Maroc, du 5 novembre 1914 au 12 août 1915, en Tunisie, du 13 août 1915 au 7 avril 1916, en orient du 13 août 1917 au 8 décembre 1918, en Algérie, du 9 décembre 1918 au 7 avril 1919.

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 21:49

1539 : Ordonnance de Villers-Cotterêts. Obligation est faite aux curés du Royaume de tenir un regitre des baptêmes, mariages et sépultures.

(d')Abboville : voir D'Aboville

acte : écrit rédigé par un officier commis à cet effet par l'autorité juridique compétente pour constater un fait (événement, convention)

acte notarié : acte rédigé par un notaire pour constater officiellement une convention intervenue entre des particuliers

acte sous seing privé : acte rédigé pour constater une convention intervenue entre des particuliers et signé par les parties et leurs témoins sans l'intervention d'un notaire

adoption : acte juridique établissant entre deux personnes (l'adoptant et l'adopté) des relations de droit analogues à celles qui résultent de la filiation biologique

adultérin (enfant): né d'un rapport extra-conjugal, d'un adultère. L'expression a disparu du Code Civil et est remplacée par "enfant naturel".

affin : apparenté par alliance

âge : temps écoulé entre la naissance d'une personne et un moment quelconque de sa vie. L'âge calculé est déterminé par la différence entre la date de la mention et la date de naissance. L'âge déclaré est l'âge affirmé par le probant ou par un témoin et formulé au moins en années, sinon en mois et en jours. L'âge présumé est l'intervalle de naissance déduit d'une déclaration de majorité ou de minorité ou de la nature de l'événement rapporté par le document

agnat : descendant(e) par ligne masculine, en pratique, les agnats portent tous le patronyme de l'ancêtre commun

agnatique : synonyme de patronymique. La ligne agnatique regroupe tous les pères et fils porteurs du même nom, le nom patronymique. Voir cognatique.

aïeul/Aïeule : grand-père/grand-mère (pl : aïeuls/aïeules). Bisaïeul, trisaïeul. Et encore moins utilisé : quadriaïeul quintaïeul sextaïeul septaïeul octaïeul

aïeux : ensemble des ancêtres (ne s'emploie qu'au pluriel)

aîné : le premier enfant né d'un couple. Dans le cas de jumeaux, la coutume reconnaît pour ainé l'enfant né en second.

alliance : lien de parenté existant entre l'époux ou l'épouse et les apparentés consanguins de son conjoint

ancêtre : personne dont est issu quelqu'un

annotation marginale : inscription, en marge de l'acte de baptême, de la date et de l'endroit de la au baptême confirmation, du mariage, du sous-diaconat ou de la profession religieuse du baptisé

anthroponymie : Partie de l'onomastique qui étudie les noms de personnes

apparenté : qui est parent par alliance, par mariage.

arbre généalogique : représentation graphique d'une généalogie.

archives : ensemble des documents, quels que soient leur date, leur forme et leur support matériel, produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité. Il existe des Archives communales, Archives départementales, Archives diocésaines, Archives hospitalières, Archives nationales, Archives notariales etc ...

armoiries : ensembles symboliques autrefois figures sur les boucliers ou écus pour distinguer les personnes, les familles, les communautés, etc.

ascendance : ensemble des personnes dont est issu quelqu'un

auteur : en généalogie ce terme désigne l'ancêtre commun à plusieurs branches.

bailliage : juridiction d'un bailly, fonctionnaire royal sous l'ancien régime.

Ban : proclamation. Annonces pendant trois dimanches successifs (et affichage) de la célébration d'un mariage (histoire : droit royal de commander, de contraindre ou de punir).

Beau-fils : époux de la fille ; fils issu d'un autre mariage de l'époux ou de l'épouse

Beau-frère : époux de la sœur, ou frère du conjoint, ou époux de la sœur du conjoint

Beau-père : autre époux de la mère; père de l'époux ou de l'épouse

Belle-fille : épouse du fils; fille issue d'un autre mariage de l'époux ou de l'épouse

Belle-mère : autre épouse du père ; mère de l'époux ou de l'épouse

Belle-sœur : épouse du frère, ou sœur du conjoint, ou épouse du frère du conjoint

benjamin : dernier né des enfants.

bigamie : état d'un homme uni à deux femmes en même temps ou d'une femme unie à deux hommes en même temps

bisaïeul/Bisaïeule : Père, mère des aïeuls c'est-à-dire arrière-grand-père et arrière-grand-mère. Bisaïeux : arrière-grands-parents.

blason : ensemble des signes et emblèmes qui composent l'écu d'une famille

BMS : actes de baptême, mariage et sépulture.

branche Fragment d'une filiation générale issue d'une même souche. Il y a autant de branches dans une famille qu'il y a de personnes ayant une postérité mâle.

bru : épouse du fils

brassier : paysan qui n'avait, pour travailler ses terres, que la force de ses bras. (le laboureur disposait d'un attelage). Il ne possède pratiquement pas de terre et loue ses services auprès de plus riches que lui.

cadastre : registre public contenant la liste détaillée des propriétés et de leurs propriétaires en vue de leur imposition. Date de Napoléon 1er dans sa conception moderne. Archives départementales série P.

cadet : Le deuxième enfant d'un couple

cadette (branche) : quand le cadet meurt sans postérité, même à un age avancé, on appelle cadette, la branche issue de son frère puiné (voir ce mot) le plus proche.

calculs de degré de parenté : voir degré.

calendrier : système de division du temps

cartulaire : recueil de chartes, contient la transcription des archives d'un établissement religieux, voir d'une ville ou d'une famille, confectionné afin d'éviter de manipuler les originaux.

célibataire : état matrimonial d'une personne qui n'a jamais été mariée

charte : Il s'agit d'un acte concédant des franchises, des privilèges, des titres de propriété ou de vente. Pour les familles, les chartes permettent d'apporter la preuve de leurs privilèges et droits sur un bien ou un titre. Archives départementales, séries E, F et J.

chartrier : recueil de chartres et aussi désigne le lieu où l'on conservait les chartes du royaume ou d'une abbaye.

cognat : descendant par ligne féminine.

  • D'après le Traité de Généalogie de René JETTE :
    "Cognat : Descendant d'une même souche en ligne autre que masculine"
    "Cognation : Parenté par les femmes ; parenté par consanguinité, par les hommes ou par les femmes "
    "Ascendance cognatique : Ascendance unilinéaire où alternent les ascendants masculins et féminins. Elle relie un "probant" à un ascendant choisi à l'avance."
  • D'après le GDEL :
    "Cognat : Lien par les femmes"
    "Cognatique : Mode de filiation non unilinéaire par les hommes ou par les femmes"
  • D'après le Robert :
    "Cognat : Parent par les femmes"
    "Cognation : Parenté naturelle sans distinction de ligne paternelle ou maternelle."

cognatique : se dit d'une généalogie descendante ne comportant pas les individus appartenant à la descendance agnatique.

collatéral : descendant d'un ancêtre commun , mais par une autre branche (ex : frère, oncle, nièce, cousin...).

commère : marraine.
compère : parrain.

compoix : ancêtre du cadastre.

comté : ancien découpage du territoire du Québec à des fins électorales et censitaires

consanguin Qui est parent par le père et par extension les personnes ayant un ascendant commun. Voir "Utérin"

Contrat de mariage : convention par laquelle les futurs époux déterminent leur régime matrimonial

Copie intégrale d'un acte : doit indiquer toutes les mentions figurant dans l'acte original, y compris nom et adresse du notaire en cas de contrat (sur un acte de mariage), et mentions marginales.

Cote : code alphanumérique d'identification d'un document archivé

Cousins germains : enfants de deux frères ou sœurs.

Cousin issu de germains : Personne ayant un arrière-grand-père commun ou une arrière-grand-mère. Appelés aussi "petits cousins" ou "sous-germains".

Critique des sources : ensemble des règles de procédure permettant de déterminer l'admissibilité d'une source au statut de document

Cujus : voir "de cujus"

Curateur : personne, en principe de la famille, chargée de la protection des intérêts matériels d'un mineur orphelin, ou nommé en cas d'absence du père ou de succession vacante.

date Ca. : aux environs de ... . Indique une date approximative.

d'Aboville : système de numérotation utilisé pour une généalogie descendante. (autres méthodes Pélissier, Dujardin, Tabuteau, Ponroy, Demonferrand, Dupaquier...). Principe : l'ancêtre de départ porte le numéro 1, son ainé le N° 1.1, son cadet 1.2 etc … Le premier enfant de l'ainée est le 1.1.1 et le premier du cadet le 1.2.1 etc …

de cujus : désigne l'individu dont on recherche les ancêtres. Syn. de "probant". premiers mots de la locution juridique latine " de cujus successione agitur ", celui ou celle dont la succession est en cause, en généalogie, celui ou celle à partir du ou de laquelle on commence la recherche

degré : synonyme de génération en droit civil. Différence de génération qui sépare des parents consanguins ou par alliance. On dit cousin au 2ème et 3ème degré par exemple. il y a deux sortes de degrés civils et canoniques.

délais de communication : voir Loi des 100 ans

dénombrement recensement

dépôt : lieu d'archivage. Archives déposées.

descendance agnatique : descendance rassemblant tous les descendants issus du probant par les mâles.
Descendance utérine : descendance rassemblant tous les descendants issus du probant par les femmes.
Descendance utile : descendance n'énumérant que les descendants ayant laissé une postérité

devise : phrase inscrite dans les armoiries. Exprime un idéal, un but, une règle de conduite

dispense de bans: voir "Ban"

dispense de consanguinité : accord donné par un évêque pour un mariage entre cousins. En droit canon, on compte le nombre de degrés qui séparent de l'ancêtre commun. Une dispense du 4e degré veut dire que les époux avaient des arrières-arrières grands-parents communs. On trouve également des dispenses du 3e au 2e degré ou du 4e au 3e degré. Les dispenses du deuxième degré étaient accordées par le Pape, les autres par les évêques.

dispense de parenté au mariage : levée de l'empêchement de parenté par autorisation spéciale de l'autorité compétente

dixièmes :impôt royal crééen 1710

domicile : lieu ordinaire d'habitation d'une personne

donation entre vifs : contrat par lequel une personne se dépouille irrévocablement d'une chose (le donateur) en faveur d'une autre qui l'accepte (le donataire)

Édit d'Henri Deux édit datant de 1556 obligeant les mères célibataires et les veuves à déclarer leur grossesse, ces déclarations forment les cahiers de grossesse, conservés aux Archives départementales en série B

empêchement de parenté au mariage : interdiction du mariage en raison d'une parenté entre les conjoints éventuels jugée trop proche pu la loi

enfant naturel : né de personnes non mariées (et dont souvent la mère seule est connue)
enfant légitime : voir légitime
enfant reconnu : un des parents reconnaît être l'auteur (ou enfant reconnu par le père et parfois par la mère, quand il est naturel ou adultérin)
enfant légitimé : le mariage valide la paternité voire la maternité (n'implique pas toujours la vrai paternité)
enfant trouvé : sans filiation connue et trouvé. Enfant dont on ne sait rien qui a été trouvé, soit dans une église ou un "tour" de couvent ou n'importe où (généralement enfant abandonné)
enfant adultérin : voir adultérin
enfant mort-né : mort à la naissance ou avant la naissance, pas toujours déclaré (sous l'ancien régime), on déclare rarement le sexe et bien entendu n'a pas de prénom.

endogamie : situation où les mariages se font exclusivement ou surtout entre les membres d'un même groupe (familial, social, ethnique, ...)

État civil ensemble des actes de naissance, mariage et décès (N.M.D.) depuis 1792, date à laquelle cette tâche fut laïcisée (mais aussi : condition d'une personne dans la société civile).

événement d'état civil : événement qui est à l'origine de l'état civil d'une personne: la naissance, le mariage, le décès, l'adoption, le divorce, ...

exogamie : situation où les mariages se font exclusivement ou surtout avec des personnes extérieures au groupe d'appartenance

extrait d'acte : reproduction textuelle et partielle d'une source

feu : ménage, foyer, famille. Ensemble des personnes vivant autrefois autour du même feu.

filiation : lien de parenté unissant deux personnes dont l'une a été procréée par l'autre

filleul(e) : baptisé(e), par rapport à son parrain ou à sa marraine

GEDCOM : Genealogical Data Communication. Format normalisé de fichier de données facilitant le passage d'un logiciel de généalogie à l'autre.

gendre : époux de la fille

généalogie : Discipline qui a pour objet la connaissance de la parenté existant entre les individus ou dénombrement des ancêtres de quelqu'un ou science qui recherche l'origine et la filiation des familles ( de génos - race - ou généa - origine - et logos - science -)

généalogie ascendante : recherche des ancêtres d'une personne.

généalogie descendante : recensement des descendants d'un individu précis (généralement un ancêtre). (dans ce cas et contrairement à la généalogie ascendante : il est impossible de prévoir le nombre de descendants)

généalogiste : celui qui établit des généalogies. On parle de généalogistes professionnels et de généalogistes amateurs.

génération : désigne les personnes qui ont un même degré de filiation par rapport à un ancêtre commun. Désigne également l'intervalle (le nombre de rang) qui sépare deux individus (environ 25/30 ans en moyenne entre deux générations).

génétique : science des caractères héréditaires d'un individu liés aux gènes

germain : à l'origine, désigne les enfants nés des mêmes père et mère (frères germains, opposés à utérins et à consanguin). Puis, qualifie couramment les cousins qui ont au moins un aïeul en commun (cousins germains).

héraldique : Science des blasons et armoiries.

hérédité : transmission des caractères d'un être à sa descendance

héritier : celui qui reçoit un bien ou un titre par succession

historiographe : celui qui écrit l'histoire de son temps ou de sa région, ou de ses contemporains

homonymie : identité de la désignation de personnes différentes

immigration : migration d'une personne depuis l'extérieur vers une circonscription administrative donnée

implexe : rapport entre le nombre réel et le nombre théorique d'ancêtres, généralement inférieur à 1 à cause des mariages entre branches d'un même arbre ascendant.

inceste : union de personnes apparentées à un degré entraînant la prohibition juridique du mariage et conclue sans dispense de parenté au mariage

information :
information absente : absence de renseignement en rapport avec le fait à prouver
information adéquate : information à la fois crédible et précise
information explicite : énoncé du fait à prouver lui-même
information implicite : énoncé d'un fait autre que le fait à prouver, mais où le fait énoncé permet de déduire sans ambiguïté le fait à prouver
information imprécise : énoncé d'un fait autre que le fait à prouver et où le fait énoncé ne permet pas de déduire sans ambiguïté le fait à prouver
information inadéquate : information qui présente un défaut de crédibilité ou de précision
information précise : énoncé sans équivoque du fait à prouver

insinuation enregistrement des actes sous l'Ancien Régime.

intestat qui n'a pas fait de testament.

inventaire après décés : liste des biens d'un défunt en vue de sa succession.

légitime : se dit d'un enfant né de parents mariés officiellement.

liasse : ensemble de document archivés ensemble.

lieu : portion déterminée d'un territoire,
lieu approximatif : lieu d'événement vraisemblable et déterminé au moyen de l'information présente dans des documents autres qu'un document de preuve par le fait,
lieu d'enregistrement : la plus petite subdivision territoriale pour laquelle l'autorité compétente a désigné un rédacteur d'acte,
lieu d'événement : lieu où est survenu l'événement auquel la personne a été associée,
lieu de résidence : lieu ordinaire d'habitation d'une personne,
lieu de survenance : voir lieu d'événement,
lieu-dit : lieu nommé par la coutume locale, mais non reconnu par l'autorité, compétente,
lieu précis : lieu correspondant à la plus petite subdivision administrative,
lieu présumé : lieu approximatif traité comme auxiliaire d'enquête

lignage : ensemble des personnes issues en ligne directe d'une même souche.

ligne directe : lignée verticale entre différentes générations, fils, père, grand-père, arrière grand-père...

ligne collatérale : frères et soeurs et leurs ascendants ou descendants.

liste éclair : liste de patronymes étudiée par un généalogiste (généralement avec dates et lieux)

livret de famille : institué en 1877, c'est à partir de ce moment que les variations d'écritures des patronymes ont disparues, les déclarants produisant une pièce écrite.

maisons : il s'agit de la descendance, de la lignée d'une famille noble.

manuscrit : texte écrit à la main et dont il n'existe qu'un seul exemplaire

marraine : femme qui tient un enfant au baptême

marâtre : autre épouse du père

mentions marginales : report du résumé d'un acte en marge d'un autre acte

métayer : locataire d'une exploitation dont le loyer consiste en une part de la récolte.

microfilms

minutes notariales originaux des actes rédigés par les notaires, conservés à l'étude ou transmis aux archives départementales, on peut y trouver : contrats de mariage, testaments, partages, donations entre vifs, reconnaissance d'enfants natureks, tutelles, actes de notoriété, actes de ventes, etc...Le dépôt des minutes de plus de 100 ans est obligatoire depuis 1979 (sérieE) mais n'est pas encore achevé, consulter le fichier des notaires aux archives départementales, pour déterminer l'étude ayant succédé à l'étude originale, et consulter les services des Archives pour savoir si les minutes ont fait l'objet d'un dépôt ou non.

minutier : ensemble des minutes des actes notariés rédigés par un même notaire

monographie : étude d'un sujet précis : personnage, régio, événement historique

mormons : appellation courante pour "Eglise des Saints des Derniers Jours". Propose à ses fidèles le baptême a posteriori de leurs ancêtres, d'où l'importance fondamentale de la généalogie pour les Mormons. Ils microfilment les archives dans le monde entier.

naturel : se dit d'un enfant né de parents non mariés ensemble.

neveu (nièce) à la mode de Bretagne : fils(fille) du cousin germain ou de la cousine germaine

NMD : Naissances, Mariages, Décès. Actes de l'état-civil, depuis 1792.

nobiliaire : catalogue de familles nobles.

noblesse :

norme gedcom : voir GEDCOM

notaire : officier public établi pour recevoir des actes et contrats, personne chargée par l'état de la rédaction, de l'authentification et de la conservation des conventions conclues entre des particuliers

ondoiement : baptême effectué en l'absence d'un prêtre. (l'ondoiement est autorisé toutes les fois qu'un enfant est en danger de mort. Si le danger presse, toute personne, catholique ou non, peut ondoyer, c'est-à-dire verser de l'eau sur le haut du front et dire "je te baptise au nom du père, du Fils et du Saint Esprit". Les cérémonies dites accessoires viennent compléter ensuite le plus tôt possible l'ondoiement si l'enfant survit.)

onomastique : Étude, science des noms propres (et spécialement des noms de personnes). Voir Anthroponymie.

paléographie : Science consacrée à l'étude des écritures anciennes

parenté : relation entre des personnes déterminée, soit par des lois biologiques soit par des règles sociales ou juridiques ; relation existant entre le probant et la personne qui lui est apparentée ; ensemble des apparentés

parentèle : ensemble des personnes auxquels le probant reconnaît le statut d'apparenté

patronyme : nom de famille, commun aux descendants d'une famille. Son utilisation date du 13°-14°siècle

petit cousin : cousin autre que cousin germain

pièce d'archives : plus petite unité archivistique indivisible ; elle peut être constituée d'une ou de plusieurs feuilles (un contrat de mariage, une lettre, etc.), d'un cahier, d'un registre.

prénom : partie du nom de personne servant à distinguer les personnes d'une même lignée agnatique

probant : celui qui fait sa généalogie ascendante. Autrefois, il s'agissait d'une personne devant donner des preuves de noblesse. Les généalogistes utilisent de préférence le terme "De cujus".

proverbe du généalogiste : "un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle"

puîné : tout enfant né après l'aîné, à l'exception du benjamin. Voir ainé, cadet et benjamin.

quartier : Ne s'emploie que pour la noblesse. Synonyme d'ancêtre. Ensemble des ancêtres composant une même génération avec une conotation de fierté sur l'origine noble de ces ancêtres.

recensement : dénombrement ordonné par l'État de la population résidant sur son territoire à une date précise

registres paroissiaux : ensemble des actes de baptême, mariage et sépulture (B.M.S.) jusqu'en 1792. Appelés aussi "registres de catholicité" car il ne concernent que les adeptes de la religion catholique. Il est rare d'en rencontrer datant d'avant 1600 car l'exemplaire unique des époques antérieures a dû traverser l'histoire en évitant les rongeurs, les insectes, les incendies, les pillages, l'humidité et surtout l'indifférence. Ils contiennent les actes de baptêmes, mariages et sépultures d'où l'abréviation de BMS. Ils étaient rédigés par les prêtres au niveau de chaque paroisse.

remué de germain : Cette expression signifie "cousin issu de germain"

régime matrimonial : ensemble des règles gouvernant les intérêts pécuniaires des époux

registre d’État Civil : registre tenu par un officier civil et servant à l'enregistrement de la naissance, du mariage et du décès des citoyens

représentation circulaire / horizontale/ verticale : arbre généalogique ayant des formes spécifiques

rôle : liste des contribuables.

série : subdivision de classement identifié par une lettre. Ensemble d'archives déterminé de manière conventionnelle soit d'après la matière (ex : série O consacrée à l'administration communale), soit d'après la période (ex: série L consacrée à l'ensemble des fonds administratifs et judiciaires du département pendant la période révolutionnaire), soit d'après la provenance.

sigillographie : Science consacrée aux sceaux.

souche : personne qui a donné naissance à une lignée ou, parfois, lieu d'origine d'une lignée.

Sosa : terme usuel pour Soza-Stradonitz (voir ce mot)

Soza - Stradonitz : système de numérotation utilisé pour une généalogie ascendante (la plus utilisée). Attribue à chaque ascendant un numéro : Vous portez le n°1, votre père porte le n°2, votre mère le n°3, votre grand-père paternel porte le n°4, votre grand-mère paternelle porte le n°5 etc. Ainsi l'homme a toujours un numéro pair et la femme un numéro impair (n° de l'époux + 1). Le n° du père représente 2 fois celui de son enfant et celui de la mère 2 fois + 1 celui de son enfant.

source : unité matérielle distincte (par la date, par le lieu, par l'auteur,…) renfermant un renseignement

tables : terme courant pour Tables décennales

tables décennales :

témoignages : témoignages, souvenirs, entretiens. On ne prendra jamais assez de notes, elles ne seront jamais trop précises. Une photo avec un personnage non identifiable n'a plus de valeur. N'attendez pas que la grand-mère soit malvoyante pour lui demander de nommer les individus d'une photo.

proverbe généalogique : "un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle". Exprime le fait que la première règle du généalogiste est d'interroger les personnes âgées.

toponymie : Science recherchant l'origine des noms de lieux

transcription :

trisaïeux arrière-grands-parents

utérin se dit d'enfants nés de la même mère et de pères différents. Ex: frère utérin. Voir germain et consanguin

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 23:52

Voici un très beau travail sur le patronyme SABY réalisé par Claude-Alain SABY.

Après avoir ouvert le lien, deux possibilités pour vous :

Téléchargement des tomes ou Lecture

Cette étude est composée de 4 tomes:

  1. Monographie du patronyme
  2. Devoirs de mémoires
  3. Signatures
  4. groupes sanguins et caractères

Pour y accéder : http://patronymesaby.jimdo.com

Bonne lecture

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 18:37

Les morts :

 

BOUDOL Eugène Jean, frère jumeau,né le 4 novembre 1886, à Perol, commune de Saint-Priest-des-Champs, maçon. Fils de Michel et de Anne TARDIF, cultivateurs à Perol. Marié à Louise POUGHON, le 19 février 1911, à Saint-Priest-des-Champs.

Soldat. Croix de guerre. Matricule 1884 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 5e Régiment d’Infanterie Coloniale, passé au 22e R.I.C., le 24 avril 1917, passé au 54e R.I.C., le 23 juillet 1917.

Deux blessures : le 26 août 1914, dans les Vosges, secteur de Baccarat et le 5 septembre 1916 à Barleux (80).

Décédé dans ses foyers, le 12 février 1919, des suites de ses blessures de guerre.

Voir sa fiche

 

GUILHEN Albert Ferdinand, né le 7 juin 1886, au Bourg, commune de Saint-Priest des Champs, maréchal à Charensat. Fils de Charles Auguste et de Jeanne Clémence ABAVID, domiciliés au Bourg de Saint-Priest.

Soldat. Matricule 1846 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 18 février 1915, au 16e Régiment d’Artillerie de Campagne, passé au 36e R.A.C., le 3 juillet 1915, passé au 216e R.A.C., le 1er avril 1917.

Tué à l’ennemi au bois Bourrus, à Verdun (55), le 19 août 1917.

 A fait partie de la 16e Compagnie du 2e Régiment du Génie, citée à l’ordre de la division le 25 mai 1916.

L’acte a été transcrit, à Charensat, le 22 octobre 1917.

Le corps a été restitué à la famille, le 8 juin 1922.

Voir sa fiche

 

TIXIER Antoine Paulin, né le 22 juin 1886, à Perol, commune de Saint-Priest-des-Champs, célibataire et cultivateur-maçon. Fils de Guillaume et de Marie BERAUD, cultivateurs à Perol.

Caporal. Matricule 1849 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 86e Régiment d’Infanterie, puis passé au 217R.I. de Lyon.

Tué à l’ennemi, le 12 juillet 1916, dans l’attaque du bois Fumin, au nord-est du fort de Souville, commune de Vaux-Devant-Damloup (55).

Le jugement déclaratif de décès a été rendu par le tribunal civil de Riom, le 21 avril 1920.

L’acte a été transcrit, à Saint-Priest-des-Champs, le 5 mai 1920.

Voir sa fiche    NOUVEAU

 

Ils en sont revenus :

 

ABAVID Eugène Joseph, né le 31 décembre 1886, à La Barge, commune de Saint-Priest-des-Champs. Fils de François, né à Saint-Priest, La Barge, le 29 octobre 1840, et de Marie Antoinette BARSSE, née à Saint-Priest, Les Barsses, le 4 décembre 1846, mariés à Saint-Priest, le 2 mars 1867, cultivateurs à La Barge.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1897 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 4 août 1914, au 36e Régiment d’Artillerie de Campagne.

Intoxiqué par les gaz de combat, du 15 au 20 Août 1917, au bois d’Avocourt.

Contre l’Allemagne, du 4 août 1914 au 28 février 1919.

 

BARGE Michel Emile, né le 2 juillet 1886, à Perol, commune de Saint-Priest-des-Champs, manœuvre. Décédé à Pierre-Bénite (Rhône), le 8 février 1960. Fils de Joseph, né à Saint-Priest, Perol, le 1er août 1849, et de Marie TIXIER, née à Saint-Priest, Perol, le 24 octobre 1851, mariés à Saint-Priest le 14 janvier 1872, cultivateurs à Perol.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1850 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 2 août 1914, au 86e Régiment d’Infanterie.

Contre l’Allemagne, du 2 août 1914 au 1er avril 1919.

 

BARSSE Bérouhard Eugène, né le 18 novembre 1886, commune de Saint-Priest-des-Champs, maçon. Décédé à Tarare (Rhône), le 18 mai 1955. Fils de Blaise et de Marie BERAUD, cultivateurs.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1886 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 4 août 1914, au 5e Régiment d’Infanterie Coloniale.

Contre l’Allemagne, du 4 août 1914 au 1er septembre 1916 et du 9 février 1919 au 22 mars 1919. Contre l’Allemagne en Orient, du 2 septembre 1916 au 8 février 1919.

 

BOUDOL Félix Annet, frère jumeau, né le 4 novembre 1886, à Perol, commune de Saint-Priest-des-Champs, maçon. Marié aux Ancizes, le 25 novembre 1920, avec Marie LAMOUROUX. Fils de Michel, né à Saint-Priest, Perol, le 9 février 1855, et de Anne TARDIF, née à Saint-Priest, Carton, le 27 avril 1856, mariés à Saint-Priest le 24 février 1884, cultivateurs à Perol.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1883 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 16 mai 1917, à la 13e Section des Commis et Ouvriers Militaires, passé au 121e R.I., le 1er juillet 1917.

Détaché, au titre de la Compagnie d’Electricité de Clermont-Ferrand, le 14 mai 1917.

 

FAURE Robert Alexandre, né le 18 mars 1886, à Lacost, commune de Saint-Priest-des-Champs, mécanicien. Décédé à Clermont-Ferrand, le 19 octobre 1949. Fils de Jean, maréchal, né à Saint-Priest, Beaufessoux-le-Grand, le 29 juillet 1862, et de Marie GILLET, née à Saint-Priest, Lamazière, le 6 décembre 1858, mariés à Saint-Priest le 20 janvier 1884, domiciliés à Lacost.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1837 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 3 août 1914, au 5e Régiment du Génie.

Contre l’Allemagne, du 3 août 1914 au 2 mars 1919.

 

JOUHET François Pierre, né le 13 septembre 1886, à Lasciouve, commune de Saint-Priest-des-Champs, cultivateur. Décédé à Miremont, le 18 septembre 1960. Fils de Michel, né à Saint-Priest, Lasciouve, le 22 février 1832, veuf de Marie MARTIN  et de Claudine BEROUHARD née à Saint-Jacques-d’Ambur, Boisse, le 19 mars 1849, mariés à Saint-Priest le 23 septembre 1884, cultivateurs à Lasciouve.

Soldat. Classe 1906. Croix de guerre. Matricule 1864 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 4 août 1914, au 86e Régiment d’Infanterie.

Cité à l’ordre du Régiment, N° 191 du 25 mars 1917 : « Soldat brancardier très dévoué, courageux et brave. A été admirable pendant les journées du 13 au 19 mars 1917 ».

Cité à l’ordre du Régiment, N° 105.

Contre l’Allemagne, du 4 août 1914 au 15 mars 1919.

 

LECUYER Emile, né le 25 mars 1886, à Carton, commune de Saint-Priest-des-Champs, cultivateur-maçon. Fils de Charles, né à Saint-Priest, Carton, le 11 novembre 1849, et de Françoise CARTON, née à Saint-Priest, Carton, le 20 février 1848, mariés à Saint-Priest le 6 février 1876, cultivateurs à Carton.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1838 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 2 août 1914, au 10e Régiment de Cavalerie Légère.

Contre l’Allemagne, du 2 août 1914 au 24 mars 1919.

 

PANOULLIERE Stéphane Eugène, né le 5 avril 1886, à Laval, commune de Saint-Priest-des-Champs, agent voyer. Décédé à Allaire (Morbihan), le 17 avril 1928. Marié à Saint-Priest, le 8 août 1919, avec PANOUILLERE Stéphanie. Fils naturel de Catherine Eugénie PANOULLIERE, née à Saint-Priest, Courtine, le 16 novembre 1863, cultivateurs.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1840 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 18 février 1915, au 105e Régiment d’Infanterie.

Contre l’Allemagne, du 18 février 1915 au 24 février 1915. Réformé, le 24 février 1915.

 

PHELUT Antoine, né le 21 octobre 1886, à Lacost, commune de Saint-Priest-des-Champs, maçon. Fils de Jean Baptiste, né à Saint-Priest, Lacost, le 6 juin 1845, et de Marie JOUHET, née à Saint-Priest, Lacost, le 27 octobre 1855, mariés à Saint-Priest le 8 septembre 1872, cultivateurs à Lacost.

Classe 1906. Matricule 1878 au recrutement de Riom. Réformé.

 

PHELUT François Martin, né le 9 mars 1886, à Lacost, commune de Saint-Priest-des-Champs, cultivateur. Fils de Jean, ° ca 1847, et de Marie LECUYER ° ca 1855, cultivateurs à Lacost.

Soldat. Classe 1906. Médaille militaire, le 16 juin 1920. Matricule 2161 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 18 février 1915, au 105e Régiment d’Infanterie, passé au 11e Bataillon de Chasseurs Alpins, le 18 août 1915, passé au 32e B.C.P., le 29 octobre 1915.

Blessé, le 26 avril 1917, au Chemin des Dames, plaie pénétrante à la cuisse droite par éclat de grenade.

Intoxiqué par les gaz, le 16 août 1918, à Tilloloy (Somme).

Cité à l’ordre du Bataillon, N° 85 du 22 novembre 1916.

Cité à l’ordre de la Brigade, N° 20 du 7 décembre 1916.

Cité à l’ordre de la Brigade, N° 31 du 2 mai 1917. 

Contre l’Allemagne, du 18 février 1915 au 9 avril 1919.

                                            

PHELUT Jean Baptiste, né le 15 juin 1886, à Boscavert, commune de Saint-Priest-des-Champs, menuisier. Marié aux Ancizes, le 14 mars 1923, avec Marie AUBIGNAT. Fils de Antoine, né à Saint-Priest, Lacost, le 7 août 1850, et de Victorine BASTERRE, née à Lyon, le 15 juin 1862, mariés à Saint-Priest le 16 février 1878, cultivateurs à Boscavert.

Soldat. Classe 1906. Matricule 1848 au recrutement de Riom. Mobilisé, le 4 décembre 1914, au 98e Régiment d’Infanterie, passé au 14e Régiment de Dragons, le 29 juillet 1915, passé au 13e R.D., le 2 octobre 1917.

Contre l’Allemagne, du 4 décembre 1914 au 9 mars 1919.

 

                                            

Pas de renseignements

 

CAILLOT Gervais, né le 27 décembre 1886, à Couladèze. Marié à Chassenard, le 6 janvier 1921, avec Constance Francine RAY. Décédé à Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône), le 30 juillet 1969. Fils de Michel et de Marie BOURDUGE

 

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 10:57

SP-Classe-1922.jpg

 

BERAUD_Joseph_109_8_1.jpg  __110_8_2.jpg  __111_8_3.jpg DUFAL__112_8_4.jpg   __113_8_5.jpg

BERAUD

Joseph

     DUFAL  
BOUCHET_Michel-Francois_114_8_6.jpg  __115_8_7.jpg  __116_8_8.jpg  CHAFFRAIX_Pierre-Germain_117_8_9.jpg  GILLET Constant 118 8 10 

BOUCHET

Michel François

   

CHAFFRAIX

Pierre Germain

 GILLET

Constant

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GIRAUD 

Amable Gabriel

 

BERAUD

Joseph

   
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BOUDOL

Pierre

JOUHET

Michel

 

SABY

Jean Henri 

MARTIN

Jean

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PAILLOUX*

Jean

Dit "Jean la casse"

JOUHET*

Jean

Dit "Corogne"

PEROL*

Michel

Dit "Michau la t'chabre"

FOURNON*

Alexis

Dit "Cosséda"

 

 

* Informations de Jacques VIRMONT de l'association "Les Brayauds"

 

Ceux qui peuvent-être sur la photo:

AUBIGNAT Antonin, BATISSE Jules Marius, BOUDOL Emile Eugène, BOUDOL François Jean-Marie, BOURNAT Etienne, BOYER Pierre Blaise, CHAUCHE Albert François René, CHANUT Jean Antoine Félix, DENIS Annet Clément, FAURE François Marcel, GERAUD Adrien, MALLET Louis Joseph, MAZERON Léon Clément, VERNERET Marie Antoine Fernand.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 18:44

Mise à jour du 11/12/2013

Les Curés et Vicaires

Antoine de CHIROL, 1531.

PHELUT Jean[1], Prêtre, vicaire de Saint-Priest en 1586.

GÉRAULD Antoine alias GIRAULD[2], natif de Saint-Priest-des-Champs, curé de Saint-Priest-des-Champs en 1599.

MAZERON Mathieu[3], prêtre de l’église de Saint-Priest en 1599.

GIRAUD Antoine[4], 1631-1639 - Curé de Saint-Priest au 9 novembre 1631.

GIRAULD Annet[5], 1639-1665 – Curé de Saint-Priest au 30 juillet 1639.

BARSSE, 1665.

Gilbert ou Jean ARNAUD, 1667.

CHEFDEVILLE Amable[6], communaliste et vicaire de Saint-Priest-des-Champs, est mis en possession de la cure, le 14 février 1686.

DENIS Etienne, prêtre communaliste en 1686.

AMBLARD Jean, prêtre et communaliste de cette paroisse, inhumé dans l’église le 30 janvier 1697.

BARTHOMIVAT Annet, prêtre et curé, 1693

GRAND Pierre ou/et Jean[7], vicaire, 1693-1694

GERAUD, vicaire, 1695

GIRAUD Antoine[8], 1708-1733 – Vicaire et prêtre Communaliste, puis curé à la cure[9] de Saint-Priest, à compter du 20 janvier 1718 ; décédé le 16 septembre 1733 et inhumé le 17 dans le chœur de l’église de Saint-Priest-des-Champs.

CHARTRON Pierre[10], mis en possession de la cure de Saint-Priest-des-Champs, vacante par le décès d’Antoine GIRAUD. Curé de Saint-Priest, de mars 1734 au 9 octobre 1736.

MASSIS, 1719-1727.

CHOMETTE, 1732-1733.

PHELUT Michel[11], 1733-1737 – Clerc, né à Perol le 29 mai 1695[12], paroisse de Saint-Priest-des-Champs, fils de Jean et de Claude dit Claudine PEROL. Décédé à Comps, le 19 juillet 1777.

DEQUEIRAUX Annet, prêtre et curé, 1737-1754. Né vers 1697 ; décédé à Saint-Priest le 4 novembre 1754 à l'âge de 57 ans ; inhumé dans l'église le 5 en présence de Messire François PEROL, notaire royal de ce bourg et de Jean GORY, lieutenant dudit Saint-Priest (Archives Départementales 6 E 408/2 – page 379).

LASTEYRAS, vicaire, 1737 à 1739 (il y a eu des vicaires qui ont administré la paroisse). BRUNEL, vicaire, 1739.

Pierre CHEVALIER, vicaire, 1739-1740.

FAYET, vicaire, 1740-1741.

PRADEL, vicaire, 1741-1742.

CHADEYRON, 1742 à 1745.

MATHIEU, vicaire, 1748.

CORNUDET Antoine[13], bachelier ès droit, prêtre et vicaire, 1750-1754. Né vers 1723 ; décédé à Saint-Priest le 12 avril 1754 à l'âge de 31 ans ; inhumé dans l'église le 13 en présence de Messire François PEROL, notaire royal de ce bourg et de Marien ABAVID (Archives Départementales 6 E 408/2 – page 378).

CORNUDET Michel[14], vicaire de Saint-Priest à la date du 6 novembre 1754. Curé de Montel-Guillaume, diocèse de Limoges, à la date du 14 novembre 1765.

FAVIER Grégoire[15], né et baptisé à Saint-Gervais, le 15 juillet 1701. Curé de 1755 à 1766.

FAVIER Charles[16], curé, du 5 avril 1767 au 21 novembre 1773. Né vers 1734 à Saint-Gervais ; décédé le 23 novembre 1773 et inhumé le 24 à Saint-Priest-des-Champs[17].

DUFAL Pierre, 1773

PACRIN, vicaire, 1758-1759.

GALUAINE, vicaire, 1759-1760.

de LAROCHE, vicaire, 1761-1762.

Jean ROUDIER, 1763.

CHANUT, vicaire 1763-1766.

DESMARAUX, vicaire, 1766-1767.

ROUDAIRE, vicaire, 1767.

BEAUDEVÈZE, 1767-1769.

GENEIX, 1770-1772.

CHABROL, vicaire, 1770.

HEYRAUD Pierre[18], né à Jussat vers 1746, vicaire de Saint-Priest à la date du 4 juillet 1774.

LAPORTE Sébastien[19], vicaire de Saint-Priest du 11 décembre 1773 au 27 septembre 1776.

DUFAL, vicaire, 1773.

CROMARIAS Jean,

TOURNEMIRE Antoine[20], curé de Saint-Priest à partir du 30 juin 1774, puis de 1802 à 1807.

LAURENSSON Jean-Baptiste[21], vicaire de Saint-Priest à la date du 30 octobre 1783.

Vicaires de 1774 à 1789 : VIREVAUD, BOYER, GILBERT, BAZIN, CROIZET.

GIRAUD François[22], curé, 1791. Né et baptisé le 1er février 1755 à Saint-Priest-des-Champs, fils de Marien et de Marie BERNARD, laboureurs à Laval

Joseph VERNIOL, prêtre intrus, 1797-1799.

VEYSSET François[23], l’aîné, curé de Saint-Priest-des-Champs de 1807 à 1849.

USSEL, 1849-1857.

CHEVALIER Pierre, prêtre, 1857-1878. Décédé le 11 septembre 1883

PLAZENET, 1878-1883.

FAURE, 1883 à ce jour.

M. l'abbé DESNIER, actuellement vicaire à Saint-Priest, a droit à notre reconnaissance pour les notes qu'il nous a adressées. C'est un prêtre distingué et instruit que nous remercions vivement, ici.

BRUT Pierre, curé de la paroisse d’août 1979 à janvier 1993. Né en 1918 ; décédé en 1993.

 

GORY Jean[24], 1736-1754 – Curé de Roche-d’Agoux[25], puis à la chapelle de Chez-Dousset le 8 octobre 1736, prêtre communaliste à Saint-Priest le 6 novembre 1754, prêtre filleul. Décédé le 5 décembre 1758 à Saint-Priest-des-Champs[26].

 

Prieuré de Saint-Priest-des-Champs ;

 

Dom Gaspard SENTUREL, prieur avant et en 1711

Dom François de THANGES, prieur de Saint-Priest-des-Champs et de Colombier a été inhumé le 26 août 1733 dans le chœur de l’église.

 

[1] Fait une donation, le 30 avril 1586, à Antoine PHELUT, l’ainé, son neveu, laboureur habitant Lacost, paroisse de Saint-Priest-des-Champs ; Personnes mentionnées : défunte Marguerite PHELUT, sœur du donateur, Jeanne et Françoise PHELUT, aussi sœurs du donateur, Jeanne PHELUT, nièce du donateur, et Antoine PHELUT le Jeune, fils du donataire (Les anciennes familles bourgeoises dans les insinuations judiciaires de Riom, 1578-1588, par Éric TIXIER)

[2] Est tonsuré, le 9 mars 1591, et ordonné prêtre, le 13 mars 1593, en la chapelle supérieure du château de Mozun, ordinations générales, par François de la ROCHEFOUCAULT (Fond Adam – 6F58).

[3] Fait une donation, le 14 juillet 1621, à Amable MAZERON, son frère, laboureur à Saint-Priest-des-Champs, à Jean et Gervais MAZERON, ses neveux, habitants Saint-Priest, fils de feu Jean, et à Mathieu MAZERON, clerc à Saint-Priest, fils de Jean qui précède ; Personne mentionnée : Gervais MAZERON, laboureur à Biollet, frère du donateur (Les anciennes familles bourgeoises dans les insinuations judiciaires de Riom, 1621-1649, par Éric TIXIER).

[4] Résigne, avant le 30 juillet 1639, sa cure de Saint-Priest-des-Champs, en faveur de son neveu, Annet GIRAULD (Fond Adam – 6F58).

[5] Fils de Jean, de Saint-Priest-des-Champs, est tonsuré, dans l’église des Jacobins de Clermont, par Jehan FABER, suffragant de Vienne, le 21 avril 1609 ; ordonné prêtre, à Tulle, par Jehan de GINHOLAC, le 15 avril 1618. Sur résignation de son oncle, Antoine GIRAUD, est mis en possession de la cure de Saint-Priest-des-Champs, en présence de Gilbert LARDIF, sieur du Teilhot, et de Durand CHASSAIGNE, clerc dudit lieu, signataires, le 30 juillet 1639 (Fond Adam – 6F58).

[6] Titulaire de la vicairie au prieuré de Notre-Dame de la Roche, permute avec Jean ARNAULD, curé de Saint-Priest-des-Champs. Est mis en possession de la cure de Saint-Priest, devant FAUCON, notaire en la baronnie de Saint-Gervais, Châteauneuf et autres lieux, par Pierre DETAIX, curé de Besserve, en présence d’Etienne DENIS et Jean AMBLARD, prêtres communalistes dudit Saint-Priest, d’Amable des COMBES, écuyer, seigneur de Miremont et dudit Saint-Priest, Marien GRANGE, marchand du village de Visignol, paroisse de Saint-Priest, Robert GERAUDIAS, prêtre de Biollet, signataires, le 14 février 1686 (Fond Adam – 6F34).

[7] Grand Jean, fils de feu Antoine et d’Anne FRAYDEVAL, de Saint-Priest-des-Champs, qui a fait ses études chez les Révérends Pères de l’Oratoire de Riom, et cinq mois de séminaire à Clermont ; se constitue un titre clérical de 80 livres de revenu, assis sur les biens à lui délaissés par son feu père, aux villages des Barsses, la Quarte, le Bladeix, Grandsaigne et Lantieux ? et aussi sur le quart de la succession de son oncle, Pierre GRAND, prêtre dudit Saint-Priest, à lui léguée, et notamment sur une maison, que son dit oncle avait acquise au lieu de Saint-Priest, au prix de huit cent vingt livres de Jean GRANDSAIGNE, notaire, devant le dit Jean GRANDSAIGNE, bailli de Miremont et Saint-Priest, et notaire royal résidant au dit Saint-Priest, le 11 novembre 1684 (Fond Adam – 6F60).

[8] Est vicaire à Saint-Priest-des-Champs, à la date du 29 mars 1708 et communaliste et vicaire dudit Saint-Priest, à la date du 10 février 1713. Nommé le 20 janvier 1718 par Jean-Baptiste CHAMPFLOUR, vicaire général de Clermont, à la cure de Saint-Priest-des-Champs, libre par le décès d’Annet BARTOMIVAT - Louis MENUDEL, présenté, pour ladite cure, par David BLIAUT, vicaire général de l’abbé de Menat, n’ayant pas été jugé de science suffisante – GIRAUD est mis en possession par ledit David BLIAUT, le 31 janvier 1718, en présence d’Antoine LAUSSEDAT, bourgeois dudit Saint-Priest, et Jean BICHON, qui signent. Le 25 février 1718, par acte donné à Coutances François d’HARECOURT, abbé de Menat, nomme ledit GIRAUD à la cure. – En litige pour la cure avec Géraud CROIZET (Fond Adam – 6F58).

[9] Le presbytère couvert, moitié en paille, moitié en albardaux, est en très mauvais état, n’y ayant que quelques mauvaise portes et fenêtres sans vitres, y pleuvant de toutes parts, les murailles de la cour étant tombées (Fond Adam – 6F58).

[10] Vicaire à Saint-Maigner, nommé à la cure de Sainte-Madelaine de Teilhet, vacante par le décès de Claude MORANGES, par François d’HARCOURT, abbé de Menat, par acte donné en son château abbatial, est mis en possession, devant FARGHON, notaire, par Victor du MAZET, curé de Saint-Maigner, en présence de David BLIAUT, curé de Neuf-Église, Gilbert OLÈRY, curé de Pionsat, Annet FARGHON, curé du Quartier, Louis MARTIN, curé de la Cellette, le 21 avril 1720.

Bonnet JAMES lui dispute, tout d’abord, ladite cure de Teilhet, puis le 19 décembre 1720, il y renonce.

Puis nommé à la cure de Saint-André de Neuf-Église et à la chapelle de SaINT6Pierre de Menat, son annexe, vacante par le décès de David BLIAUT, par François d’HARCOURT, abbé de Menat, est mis en possession de l’église et maison curiale de Neuf-Église, par ledit abbé, le 14 avril 1731. Se démet, avant le 9 avril 1732, de sa cure de Teilhet.

Curé de Neuf-Église et de Menat. Nommé, par acte donné à Saint-Sauveur-le-Vicomte, diocèse de Coutances, par François d’Harcourt, abbé de Menat, à la cure de Saint-Priest-des-Champs, vacante par le décès d’Antoine GIRAUD et le refus de Jacques DUVAL, prêtre du diocèse de Coutances ; est mis en possession de l’église et du presbytère, ce dernier en mauvais état, à l’exception de la couverture qui a été refaite, sous le pastorat de M. GIRAUD, par Bonnet JAMES, curé de Gouttières, en présence de Claude PHELUT, vicaire dudit Saint-Priest-des-Champs, en mars 1734. Se démet, le 63 mars 1735, au château abbatial de Menat, de sa cure de Neuf-Église.

Par acte passé en sa maison curiale dudit Saint-Priest, devant Grégoire LELONG, notaire à Saint-Gervais, et Etienne VIALLETTE, notaire à Gouttières, permute avec Annet de QUEIREAUX, curé de Neuf-Église et de Menat, le 30 août 1736. Permutation admise, à Rome, le 9 des calendes d’octobre 1736.

Le 8 juillet 1758, à 5 heures du soir, en son presbytère de Neuf-Église, détenu au lit, malade d’une fièvre de rhume, se démet, entre les mains de l’abbé de Menat, de sa cure de Neuf-Église et Menat, en présence d’Etienne DUREL, doyen de la communauté des prêtres de Saint-Gervais, René BICHARD, procureur du Roy au baillage royal de Montaigut, demeurant juge de la châtellenie de Menat, Claude CROISIER, chirurgien juré du Pont de Menat et Blaise CHANCELME, chirurgien juré du bourg de Menat, qui signent.

[11] Se constitue, devant PEROL, notaire, un titre clérical de 80 livres de revenu en mai 1723. Vicaire de Pierre CHARTRON, à Saint-Priest-des-Champs, à la date du 17 juillet 1734. Prêtre demeurant à Saint-Priest-des-Champs, pourvu sur sa demande, le 12 février 1737, de la cure de Comps, suite au décès de Gilbert PEREYTON ; est mis en possession devant LELONG, notaire à Saint-Gervais, par Annet NONY curé de Chambonnet, en présence de François MONTEL, vicaire de Comps, Pierre BOULON, prêtre communaliste de Saint-Gervais, Annet GARDARIN, vicaire de Saint-Priest-des-Champs, le 27 mars 1737. Détenu au lit, malade, en son presbytère, résigne, devant DOUHET notaire aux Ancizes, sa cure de Comps en faveur de son vicaire Claude CEYSSAT, sous réserve d’une pension de 200 livres, en présence de Jean LAMOUROUX et Jean MAZERON, laboureurs du bourg de Comps, qui signent, le 17 juillet 1777 (Fond Adam – 6F86).

[12] Parrain Michel DELONCHAMBON, lieutenant à Saint-Jacques-d’Ambur, marraine Marie DAUSSAGNE.

[13] Fils de Guillot, sieur des Granges, notaire, et à demoiselle Marie CHIREIX de la ville de Croc, acolyte du séminaire de Clermont, est doté par ses parents d’un titre clérical de 80 livres, sur leur domaine des Granges, le 7 octobre 1748.

Est pourvu de la cure et doyenné de la ville de Croc, sur résignation de Pierre CROIZET, consentie le 27 novembre 1752, en présence d’Antoine SARSIRON, tanneur, Michel de COURTEIX, bailli de Croc, Michel DEFOURNOUX, chirurgien, tous de la ville : Le résignant meurt avant le 20 janvier 1753, et le Chapitre d’Herment nomme à la cure de Croc, Etienne BOUYON (Fond Adam – 6F 38).

[14] Fils de Gilbert, sieur des Granges, notaire et juge des justices de Sannemolhes, les Ecurettes, les Leyris et autres justices et de demoiselle Marie CHIREIX, demeurants en la ville de Croc, y est doté, étude de CHARLES, notaire royal, par ses parents d’un titre clérical de 80 livres de revenu, sur leur domaine de Chez Lacombe, appartenances et franchises de la ville de Croc, « pour sa légitime », conformément au contrat de mariage de leur fils aîné Jean-Baptiste CORNUDET avec demoiselle Marie de COURTEIX, en présence de Michel de COURTEIX, curé de Basville, Annet de DEQUEIRAUX, curé de Saint-Priest-des-Champs, Pierre CROIZET, doyen et curé de Croc, Jean DUCROS, curé de Saint-Bard, Joseph FAURE, curé de Saint-Oradoux, Pierre BOUYON, curé de Saint-Alvard, Pierre BRESSON, vicaire de Croc, André MARTIN, chanoine de Croc, le 21 octobre 1751 (Fond Adam – 6F 38).

[15] Fils de Blaise et de Françoise MANSARD, marchand de Saint-Gervais, est doté par son père, qui ne sait signer, d’un titre clérical de 80 livres de revenu, le 21 novembre 1725.

Tonsuré dans l’église du séminaire de Bourges, le 28 mai 1724 ; Maître-ès-arts de l’Université de Bourges ; prêtre communaliste de Saint-Gervais, à la date du 19 avril 1728. Vicaire à Saint-Pierre de Clermont, insinue ses grades le 29 mars 1729. Le 9 juin 1729, requiert de l’abbé d’Ebreuil, Dom Etienne de MONTSAULVIN de FONTENAY, la cure de Saint-Maigner, libre par le décès, en janvier, de Victor MAZET. L’abbé lui répond d’y avoir nommé Annet de LANARREIX, MASSILLON lui donne visa : « Veut prendre possession de la cure de Saint-Maigner, le 14 juin 1729. Il trouve l’église fermée, va chez le sacristain, Antoine DUMAS. Sa mère lui dit qu’il est absent et que M. de LANARREIX à les clefs. Il va à la cure, qu’il trouve fermée, revient à la porte de l’église, où le notaire fait lecture à haute voix du « visa ». Survient une troupe de femmes et filles, qui disent qu’il était inutile que le Sieur FAVIER se présentât pour être curé de Saint-Maigner, parce qu’elles ne le reconnaitraient jamais pour curé. Partie des quelles s’étaient munies de pierres et menaçaient d’en jeter, ayant même fait sonner le tocsin par un petit garçon ». M. FAVIER, Jacques BOULON, curé de Saint-Gervais, installateur et les témoins se retirent chez VERGE, hôte de Saint-Maigner ; dans la soirée, vont prendre possession de la chapelle de Saint-Loup.

Nommé de plein droit, le 11 juin 1751, par LAGARLAYE, à la cure de Saint-Gervais, vacante par le décès de Jacques BOULON ; est mis en possession devant MOMBRUN, notaire royal, par Etienne DUREL, en présence de Pierre PRADELLE et Jean CHARDONNET, tous trois communalistes du lieu, Gaspard BOULON, sous-diacre, Blaise CHARVILHAT, bourgeois, Gervais MOMBRUN, chirurgien juré, Benoît CHARDONNET, hôte, Annet NONY, bourgeois, Bravy PRADELLE et Benoît LAROCHE, ces deux derniers sacristains, qui signent. Le 23 juin 1751, en litige pour Saint-Gervais, avec Gilbert CHARVILHAT.

Nommé par Jean CHARDON de RANQUET, vicaire général de Clermont, fondé de procuration générale de l’abbé de Menat, Olivier François URROY, à la cure de Saint-Priest-des-Champs, vacante par le décès d’Annet de QUÉRÉAUX, est mis en possession, devant PEROL notaire à Saint-Priest, par Jean GORY, ancien curé de Roche-Dagoux, à présent communaliste de Saint-Priest, en présence de Pierre MAURY, curé de Roche-Dagoux, Michel CORNUDET, vicaire dudit Saint-Priest, François BOUTAREL, bailli de Miremont et Saint-Priest, demeurant à Espinasse, en novembre 1754. Nommé de plein droit et par dévolu, par LAGARLAYE, à la vicairie des Barsses, en l’église de Saint-Priest, le 6 mars 1755.

Est mis en possession de la vicairie des Barsses, en l’église de Saint-Priest-des-Champs, à l’autel Saint-Valentin, qui est au côté gauche du maître autel, devant Jean-Baptiste FAURE, notaire royal à Saint-Gervais, par Etienne MOSNIER, vicaire de Saint-Maigner, en présence de Jean MOLLAT, vicaire de Saint-Maigner et de Michel CORNUDET, vicaire de Saint-Priest, le 26 mars 1755.

Curé de Saint-Priest, résigne à Clermont, étude de CHAUDESSOLLE, notaire royal, à sa cure de Saint-Maigner, en faveur de Jean BENOÎT, le 29 octobre 1755.

Au lit, malade, en sa maison curiale, résigne, devant FAURE, notaire à Saint-Gervais, sa cure de Saint-Priest-des-Champs, en faveur de Charles FAVIER, sous réserve d’une pension de 120 livres, « pour l’aider à vivre dans son âge avancé », le 9 avril 1766 (Fond Adam – 6F 51).

[16] Fils de Gervais, marchand de la ville de Saint-Gervais, et de Geneviève des FONCELLES, y est doté par son père, qui signe, d’un titre clérical de 80 livres de revenu, en présence de Grégoire FAVIER, curé de Saint-Priest-des-Champs, François LELONG, procureur d’office au baillage d’Ayat, Pierre DUFAL, marchand, qui signent et tous de la ville de Saint-Gervais, le 4 janvier 1757.

Prêtre communaliste de Saint-Gervais, est pourvu de la cure de Saint-Priest-des-Champs, sur résignation de Grégoire FAVIER,  consentie, le 9 avril 1766. Mis en possession devant Annet FAURE, notaire, par Gilbert DESMAROUX, prêtre communaliste de Montaigut, en présence de Charles MAZERON, bourgeois, et Amable ABAVID, marchand, tous deux du bourg de Saint-Priest, Pierre GARACHON, tailleur d’habits de la ville de Saint-Gervais, qui signent, le 5 avril 1767.

Au lit, malade, en son presbytère, résigne, à 10 heures du soir, devant MAZERON, notaire, sa cure de Saint-Priest-des-Champs, en faveur de son vicaire Gervais DUFAL, le 21 novembre 1773 (Fond Adam – 6F 51).

[17] Présents de Messire Joseph FAUCON, prêtre et communaliste de Saint-Gervais, de Messire Gervais BATISTE, prêtre et communaliste de Saint-Gervais et de Messire Sébastien LAPORTE, vicaire de Saint-Priest.

[18] Du séminaire de Clermont. Fils de feu Laurent, laboureur, et de Claude ASTIER, est doté au Crest, étude de VIALLEVIELHE, notaire royal, d’un titre clérical de 90 livres par sa mère et son oncle Pierre HEYRAUD, tous de Jussat, non signataires, le 7 janvier 1771. Ordonné prêtre le 17 décembre 1773.

Prêtre habitant du lieu de Jussat, demeurant à la chapelle de Monsieur le Marquis de SALVERT, nommé par Etienne, Jean, André et Antoine HEYRAUD, laboureurs ou vignerons de Jussat ; Jean-François HEYRAUD, Marie HEYRAUD femme de Jacques CHASSAIGNE, vignerons de Mordogne, ses frères ou parents, non signataires, Robert HEYRAUD, bourgeois, Antoine HEYRAUD, chanoine, Jean HEYRAUD, avocat et châtelain du Crest, tous trois habitants du Crest, Antoinette HEYRAUD, femme de Bonnet LEFAURE, laboureur d’Opme et autres à la vicairie des HEYRAUD, à Saint-Genès de Clermont, vacante par le décès d’Antoine TOURNADRE, est mis en possession par Jean-Pierre CHAUDESSOLLE, chanoine dudit Saint-Genès, le 31 octobre 1787.

Fut enfermé à la Chasse, le 21 novembre 1793, conduit à bordeaux, le 13 ventôse an 11, detenu au petit séminaire de cette ville, embarqué sur le Dunkerque ; libéré au Port des Bargnes, le 12 avril 1795. Il se cacha, pour se soustraire à la loi du 3 brumaire an 4, et fut exempté de la loi du 19 fructidor, comme n’étant ni fonctionnaire, ni dénoncé, le 15 prairial an 6 (Fond Adam – 6F 62).

[19] Du séminaire de Clermont. Fils de Sébastien, bourgeois du bourg de Menet (15), et de Jeanne RAYMOND, y est doté par son père, devant RAYMOND, notaire, d’un titre clérical de 80 livres de rente, suivant la clause, portée par le contrat de mariage de sa sœur aînée, feue demoiselle Antoinette LAPORTE, avec Pierre ROUX, le 1er février 1772. Ordonné prêtre, le 27 mars 1773.

Vicaire à Saint-Priest-des-Champs, à la date du 11 décembre 1773. Vicaire à Saint-Rémy-de-Blot, est pourvu de la cure de Saint-Rémy-de-Blot, sur résignation de François REYNAUD, consentie, le 4 juillet 1776. Mis en possession, devant BAISLE, notaire à Blot-l’Eglise, par Gervais MATHET, curé de Lisseuil, en présence de Joseph PLANCHON, curé de Pouzol, Dom Jean GILBERT, généraliste de Menat, Pierre ROUYRE, vicaire à Saint-Saturnin-ès-Montagnes, Gilbert MANDET, syndic des procureurs de la Sénéchaussée d’Auvergne, Gilbert BERNIER, bourgeois, André et Annet MATHET, frère et fils, bourgeois du bourg de Saint-Rémy-de-Blot, Claude CROISIER, chirurgien juré du bourg de Menat, qui signent, le 27 septembre 1776.

Curé de Saint-Rémy-de-Blot, prêta le serment ; abdiqua, en l’an II. Se rendit alors dans son pays natal. Se rétracta, le 23 juin 1795, et demanda sa réhabilitation, le 25 février 1797. Réhabilité le 5 mars 1797 ; habitait alors à Menet. Sur la demande des habitants de Saint-Rémy-de-Blot, il fut alors autorisé à desservir sa paroisse, par décision du Conseil épiscopal de juillet 1797, à condition de ne pas prendre le titre de curé, et de déclarer publiquement qu’il n’avait que des pouvoirs délégués (Fond Adam – 6F68).

[20] Du séminaire de Clermont, né à Anglards le 29 septembre 1742, fils de feu Gabriel et de dame Catherine DEYDIER est doté, à Anglards, étude de Faucher, notaire, par son frère Pierre de TOURNEMIRE, écuyer, seigneur de la Chaux, Artiges et coseigneur de Tourniac, demeurant à la Chaux, paroisse de Tourniac, d’un titre clérical de 120 livres de rente, payable le jour de son sous-diaconat et assise sur le domaine du Fayet, au village du même nom, paroisse de Trizac, lequel vaut 5000 livres, que le dit sieur de TOURNEMIRE de le Chaux tient de son père. Le constituant promet encore de faire et fournir à son dit frère tous les frais, dépenses, habits et linges nécessaires, jusqu’à ce qu’il soit prêtre. Antoine de TOURNEMIRE renonce à toutes successions directes ou collatérales, au profit de son dit frère aîné et des siens. Présents : Jean-Dominique de MONTCLARD, baron dudit lieu et de Montbrun, seigneur d’Anglards, La Trimollière, Longevergue, , résidant en son château de la Trimollière en ce bourg d’Anglards, Jacques PAGIS, marchand de Baillergues, paroisse d’Anglards, Georges LESCURIÉ, seigneur de Fournol, Joncaux et Sarrette, bourgeois, Jacques LAPEYRE, marchand, Jean JUILLARD, maître d’école, tous trois du bourg d’Anglards, qui signent, le 26 octobre 1767.

Tonsuré, le 3 avril 1767. Ordonné prêtre par LAGARLAYE, le 23 décembre 1769.

Écuyer, vicaire de Saint-Gervais-d’Auvergne, à la date des 29 janvier et 19 mai 1772. Nommé par Antoine CHAMBAUD, curé de la cathédrale de Clermont, procureur constitué en vicariat de l’abbé de Menat à la cure de Saint-Priest-des-Champs, vacante par la démission de jean CROMARIAS, est mise en possession devant MAZERON, notaire à Saint-Priest-des-Champs, par Jean VERDIER curé de la ville de Saint-Gervais, en présence de Gervais BATISSE, communaliste et vicaire dudit Saint-Gervais, Sébastien LAPORTE et Pierre HEYRAUD, tous deux vicaires dudit Saint-Priest, Antoine RIVIÈRE, économe de l’Hôtel-Dieu de Clermont, y demeurant. Gabriel PORTE, procureur au baillage dudit Saint-Priest, Marien RANCE et Marien ABAVID, huissiers royaux, Gilbert CLUZEL, marchand du bourg de Saint-Priest, qui signent, le 30 juin 17774.

Curé de Saint-Priest-des-Champs, refusa le serment. En août 1791, il habite encore à Saint-Priest. Déporté, à la fin de 1793, rentré au mois de messidor an III (juin-juillet 1795), après sa mise en liberté par  le département d’après les ordres de CHAZAL… Revient à Saint-Priest, d’où il disparait après la publication de la loi du 3 brumaire an IV (25 octobre 1795). S’est retiré dans sa famille en germinal an IV (mars-avril 1796). En vendémiaire an VI (septembre-octobre 1797), habite Saint-Priest, rangé par l’administration, parmi les prêtres émigrés et rentrés. En 1800, il exerce à Saint-Priest. 1802, réside à Saint-Priest… Recommandé par DESAIX et le général BEKER, pour être rétabli à Saint-Priest. Curé de cette paroisse de 1802 à 1807.

Retiré, le 5 octobre 1807, à raison de ses infirmités – Nommé alors, chanoine honoraire (Fond Adam – 6F102).

[21] Du séminaire de Clermont, né aux Chaumettes, le 18 février 1752, fils de Gilbert et de feue Marie FLORANT, est doté, aux Chaumettes, maison des constituants, paroisse de Basville (23), devant ALLEYRAT, CHARLES et CORNUDET, notaires, d’un titre clérical de 80 livres de rente par son père et son beau-frère Michel CHAZOULIERE, marchands, qui ne savent signer, en présence de Louis BOUYON, curé de Saint-Alvard (23), Etienne PAPON, curé de Basville, Jacques FLORANT, chanoine d’Herment, Jean et Barthélemy FILLIAS, frères, seigneurs de Chaludet, Larfeuille, demeurants à Pompignat, qui signent, le 16 novembre 1780. Ordonné prêtre, le 21 décembre 1782.

Vicaire à Saint-Priest-des-Champs, à la date du 30 octobre 1783. Vicaire à Royat, refusa le serment ; dut se cacher dans son pays natal. En 1798, habite Basville, obligé de se cacher ; recherché dans le canton de Giat en l’an VII. Desservant de Saint-Oradoux, de 1797 à 1803. Curé de Saint-Avit, de 1803 à sa mort, le 20 mai 1823 (Fond Adam – 6F69).

[22] Reçoit de François BONAL, la tonsure le 13 juin 1778 et la prêtrise le 23 décembre 1780. Maître-ès-arts de l’Université de Bourges, vicaire à Mautes, insinue le 11 juillet 1788. Vicaire à Saint-Priest-des-Champs en fut élu curé constitutionnel, ayant prêté le serment par l’assemblée électorale, tenue à Montaigut, le 19 juin 1791… Abdiqua le 16 frimaire an II… En vendémiaire an VI, habite Saint-Priest, ayant prêté tous les serments.

En 1800, il exerce en intrus à Saint-Priest, quoique le curé, M. de TOURNEMIRE soit présent ; a remis ses lettres de prêtrise, et parait très attaché à ses sentiments pervers (Rapport du préposé). Curé d’Espinasse de 1802 à sa mort, le 13 mai 1806.  

[23] Du séminaire de Clermont, né à Saint-Martin-de-Tours en 1757, fils de Martin, laboureur à Saint-Martin, et de Marie VOULT. Est doté par son père, à Orcival, étude ROCHETTE, notaire, d’un titre clérical de 80 livres de rente, le 11 mai 1780. Ordonné prêtre par François de BONAL, le 25 mai 1782. Vicaire à Saint-Saulge (Nièvre), y prêta le serment et fut élu, le 24 mai 1791, par l’assemblée d’élection de Clermont curé constitutionnel de Saulzet-le-Froid ;  mais, il fut très mal accueilli, on fuyait sa messe, pour assister à celle d’un enfant du pays, M. BOREL de la MARTRE, ancien chanoine d’Orcival. Il abdiqua en l’an II. Le 11 avril 1795, il se rétracta. Il prit un passeport, après le vote de la loi du 3 brumaire an IV, mais ne dut pas quitter la France.

Il fut réintégré par M. SOLIGNAT, le 11 mai 1797, et chargé de desservir Saint-Germain-près-Herment, où il exerçait avant le 18 fructidor. En 1802, il est encore desservant de Saint-Germain-près Herment. Curé de Saint-Hilaire-de-Pionsat de 1802 à 1807 (Fond Adam – 6F108).

[24] Est mis en possession, sur résignation de Marien BACONNET, de la cure de Roche-Dagoux, devant Perol, notaire, par Jean BARON, curé d’Espinasse, en présence de Michel DENIS, bailli, Antoine DUBOSCLARD, procureur d’office, Pierre JALLOT, greffier, François NOHEN, chirurgien, tous de Roche-Dagoux, le 14 novembre 1709.

Nommé à la chapelle de Chez-Dousset, audit lieu de Chez-Dousset, vacante par le décès de Messire PALLUT, par Dame Amable DENIS, veuve de François MACON, écuyer, seigneur du Poirier, habitante du bourg d’Espinasse, en présence d’Antoine GORY, chirurgien du bourg de Roche-Dagoux, et autres, par Jacques MOREL, curé de Vergheas, devant la chapelle fermée, le 8 octobre 1736.

Se démet, avant le 26 juillet 1745, de sa cure de Roche-Dagoux.

Communaliste à Saint-Priest-des-Champs, à la date du 6 novembre 1754 (Fond Adam – 6F58).

[25] Sous son pastorat, Joseph LORET de LAURIAT, écuyer, seigneur de Rochedagoux et de Roche-Dragon, en ladite paroisse de Roche-Dagoux, trésorier général de France, fait construire un oratoire, dans son château de Roche-Dragon, pour y entendre la messe avec sa famille et ses domestiques, le dote de 13 livres de rentes pour 16 messes basses par an, au profit du curé de Roche-Dagoux, puis, demande l’autorisation d’y faire célébrer la messe « étant obligé d’y passer une partie de l’année, pour percevoir les revenus de ses terres » et d’exposer à la vénération des fidèles la relique de Sainte-Colombe, martyre, placée dans une châsse d’argent, d’un pied, avec un clocher. Le 16 août 1723, Claude DELAIRE de MASSILLON donne ces permissions (Fond Adam – 6F58).

[26] Présents Antoine AUBIGNAT et Amable GRANGE.

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 10:55

Une chorale d'agriculteurs pour dénoncer l'industrialisation du lait

Paysans Menacés, cliquez sur

http://www.youtube.com/watch?v=5guMYOFphto&list=HL1358516684&feature=mh_lolz

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 00:11

PORTE Marien, né à Condat-en-Combrailles, le 10 novembre 1833, marié, 4 enfants. Il a obtenu son Brevet complet, le 18 août 1885.

Il a fait ses débuts à Saint-Maurice-près-Pionsat, 1er octobre 1855. Après un passage dans divers établissements (Collège d’Issoire, Ecole Normale de Clermont, Maringues, Ecole Normale du Puy), il est arrivé à Saint-Priest, le 15 février 1867, comme instituteur public. Il est considéré comme un instituteur assez impulsif. Le 12 juin 1872, il quitte Saint-Priest pour Thiers, puis Gimeaux, Saint-Genès-la-Tourette, Egliseneuve-des-Liards et Palladuc où il finit sa carrière.

Archives Départementales – T 6747

HOSTIER Jean, né au Vernet-la-Varenne, le 27 mars 1862, marié. Il a terminé ses études à l'École Normale de Clermont-Ferrand (1879-1882). A obtenu son Brevet élémentaire, le 18 juillet 1881 et son Certificat d’Aptitude Pédagogique, le 2 mars 1888. Également diplômé maître de gymnastique, le 29 juillet 1882.

Après Saint-Germain-Lembron, Saint-Anthème, il arrive à Lapeyrouse. C’est ici qu’il connaitra quelques déboires et sera suspendu 3 mois à partir du 25 novembre 1885.

Sa réintégration se fera le 1er mai 1887 comme instituteur public adjoint à Saint-Priest. Pendant 3 ans et 5 mois il enseignera au côté de Jean Berthin. L’inspecteur note : « Il travaille constamment à son instruction, ne fréquent jamais les cafés et est très assidu à sa classe. Il conclut : Espérons que M. Hostier restera fidèle aux bonnes résolutions qu’il a formées en reprenant ses fonctions après une suspension qui a duré plus de quinze mois. »

Le 28 janvier 1889, le même inspecteur a les observations suivantes : « Si la conduite et la tenue de M. Hostier sont actuellement irréprochables, il manque d’activité dans sa classe, qui est mal tenue. Bien qu’il soit l’adjoint le plus ancien de ma circonscription, je l’ai prévenu que je ne le proposerais pour un emploi de titulaire qu’après avoir constaté une sérieuse amélioration de sa classe. »

Archives Départementales – T 6690

PAILHOUX Catherine Georgette, épouse COTE, née au Courteix commune de Saint-Georges-de-Mons, le 24 janvier 1876. Elle est sortie de l’Ecole Normale de Clermont (1892-1895). Obtenu son Brevet élémentaire en juillet 1892, son Brevet supérieur en juillet 1895 et le C.A.P. en juillet 1899.

Elle est venue à Saint-Priest comme institutrice stagiaire au bourg, du 27 septembre 1893 au 30 septembre 1897. Le 12 juillet 1897, elle a fait une demande pour un poste à Lamazière. En juillet 1899, lors du passage de son C.A.P., elle est désignée comme institutrice stagiaire déléguée à l’école publique de Lamazière.

Elle est considérée comme une excellente maîtresse, très dévouée et qui a bon caractère.

Archives Départementales – T 6698

COTE Auguste Blaise, né à Biollet, le 22 novembre 1871. Décédé le 10 juillet 1931. Il a terminé ses études à l'École Normale de Clermont (1889-1892). A obtenu son Brevet élémentaire en octobre 1889 et son C.A.P. en mars 1896.

Est venu à Saint-Priest, comme instituteur stagiaire à l’école publique, du 27 septembre 1893 au 30 septembre 1897, en remplacement de M. DELAURAT, décédé.

M. Berthin écrit : « Se conduit très bien et vit en bon rapport avec tout le monde. », et l’inspecteur rajout : « Jeune maître d’une intelligence et d’une capacité ordinaires, mais sérieux et très consciencieux. Il fera un bon instituteur. »

Archives Départementales – T 6741

ROUX épouse RIBOT, née à Cros, le 6 novembre 1869. Mariée en 1897 à Briffons, divorcée le 14 février 1929. Elle a terminé ses études à Latour-d’Auvergne. Obtenu son Brevet élémentaire en octobre 1889 et le C.A.P. en 1922 à Clermont-Ferrand.

Elle commence sa carrière à Mazayes à l’école de Chambois. Après un passage à Monne commune du Vernet-Sainte-Marguerite, elle est nommée à l’école de Saint-Martin-de-Tours commune de Rochefort.

A sa demande, elle arrive à l’école du Bladeix comme institutrice stagiaire, le 1er octobre 1913. Sera titulaire, le 1er janvier 1923. Elle fera donc l’ouverture de la nouvelle école et y restera jusqu’à sa retraite, le 1er octobre 1933.

L’inspecteur primaire, le 9 mai 1921, écrivait ceci : « Madame Ribot est une maîtresse dévouée qui travaille dans sa classe. L’enseignement ne donne pas tous les résultats désirables parce que pendant tout l’hiver les plus grands élèves consacrent la plupart des matinées au catéchisme à Saint-Priest-des-Champs. Je voudrais des esprits plus ouverts. Employons des méthodes plus concrètes, laissons réfléchir, parler nos élèves. »

Archives Départementales – T 6768

FAURE Antonin, né à Biollet, le 22 août 1867. Il a fait ses études à l’école primaire de Clermont-Ferrand. Il est pourvu d’un Brevet élémentaire obtenu, le 19 octobre 1886. Il a eu son Certificat d’Aptitude Pédagogique, le 2 août 1892.

Arrivé de Pionsat, le 30 septembre 1890, en remplacement de M. Hostier, comme instituteur public stagiaire, il repart de Saint-Priest, le 30 septembre 1891.

Le 19 décembre 1890, l’inspecteur note que « M. Faure travaille constamment à son instruction ; il est très assidu à sa classe, ne fréquente jamais les cafés. Le maître et le stagiaire vivent ensemble et en bonne confraternité.

Il est sérieux et docile. Un peu mou. Instruction faible ; manque d’entrain. Beaucoup de bonne volonté. »

Il finit sa carrière à Saint-Maigner, le 16 janvier 1912, après être passé à Saint-Gervais, Ayat, Champs et Bussières.

Archives Départementales – T 6663

DELAURAT Jean, né à Effiat, le 20 mai 1865. Il a terminé ses études à l’école publique de Randan. Obtenu son Brevet obligatoire en mars 1885 et le C.A.P., le 9 juillet 1891. Il a débuté sa carrière à Sugères, puis est passé à Artonne, Manzat et Pionsat.

Est venu à Saint-Priest, comme instituteur adjoint, en remplacement de M. Faure. Du 16 septembre 1891 au 31 décembre 1891, comme stagiaire, et à partir du 1er janvier 1892, comme instituteur titulaire.

Il s’est arrêté d’enseigner en juillet 1893 (Maladie) et est décédé le 26 septembre 1893.

Archives Départementales – T 6648

BRUN Marguerite Laurence, née à Combronde, le 1er mars 1869.

Elle a terminé ses études à la Pension Saint-Pierre à Clermont-Ferrand, obtenu son brevet obligatoire, le 26 juillet 1885 et son Certificat d'Aptitude Pédagogique en juin 1895.

Sa première nomination, le 28 septembre 1888, a été pour l'école publique de Saint-Priest comme institutrice stagiaire. Elle y prend ses fonctions, le 4 octobre 1888.

Dans son rapport du 24 janvier 1889, l'inspecteur primaire note : « Très inexpérimentée, Mlle Brun désire bien faire, mais montre assez peu d'initiative. Sa santé, du reste, paraît délicate. »

Elle quitte Saint-Priest, le 15 octobre 1889, pour Châtel-Guyon. Son parcours, pas plus d'une année dans la même école, la mène à Lapeyrouse, Le Broc, Saint-Alyre-ès-Montagne (Boutaresse), Saint-Anastaise (Anglards), Saint-Etienne-sur-Usson (Chauvaye).

Elle décède le 25 juin 1899, peut-être à Montaigut-le-Blanc où elle venait d'avoir sa titularisation à l'école de Reignat.

Archives Départementales – T 6571

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 10:15

Peut-être que vous saurez reconnaitre ces deux personnages

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