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16 février 2024 5 16 /02 /février /2024 11:34

Le Ténement d’Ardalhon

En leurs personne Jean CANAU fils à Marien CANAUT, Pierre MARCHE, Marciien BOUDOL, Bonnet DENIS, Michel MARCHEIX tant en son nom qu’en qualité de tuteur des enfants de feu Guillaume MARCHEIX son frère, tous laboureurs habtitants du village des Tours paroisse de Miremont et Martige POUMEROL laboureur habitant du village de Moulliebé paroisse de Charensat.

A savoir : le Ténement appelé d’Ardailhon, composé de prés, terres et paschiers, fraux et communaux situés dans la paroisse de Saint-Priest que jouxte le Mas de la Chaumette de jour et bise, un chemin tendant du Pont du Bouschet à Auzances de midy, autre chemin teandant du village de Tours au Bladeix de nuit, aux cens annuels et perpétuels de la somme de quatre sols, ect…

Le Ténement du Blanquet

En leurs personnes Louis de BOSCAVERT, escuyer sieur du Bladeix habitant audit village et François TIXIER, laboureur habitant au village de l’Esbeaupin paroisse de Biollet.

A savoir, Situé dans la paroisse de Saint-Priest contenant entour dix septerées qui se confine jouxte le Mas du village du Bladeix de jour et bise, le chemin commun tendant du Pont du Boucheix à Auzances et au village de Lausbepin de midy, le Mas dudit village de l’Esbaupin de nuit, au cens annuels et perpétuels d’une quarte de seigle mesure de Termes, ect…

La moitié du village Mas et Ténement de Lesbaupin

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, habitant audit Couronnet, laquelle de son bon gré et volonté, tenir et porter de tout temps et ancienneté [les] cens censive et directe seigneurie des dames abbesse et religieuses du couvent de l’Esclache ordre de Citeaux à cause de leur prieuré de la Roche situé dans la dite paroisse de Saint Priest membre dépendant de l’abbaye […] à savoir la moitié du village mas et tènement appelé Lesbeaupin de Pourradier et Gondol ou Goudard joignant ensemble situé dans la dite paroisse de Saint-Priest composée de maisons, granges, étables, jardins, prés, terres, paschiers, bois, buissons, fraux et communaux qui se confine jouxte les mas du Bladeix et de Blanquet de jour, un chemin commun allant du pont du Boucheix à Auzance de midi, autre chemin courant partant du village des Tours à Biollet de nuit, les terres de la Quarte Vieille et des Barsses de bise, au cens annuel et perpétuel pour la dite moitié dudit village et tènement de Lébeaupin de la somme de seize sols six deniers, seigle sept quartes et un quarton, avoine un septier et deux quartes, mesure de termes, une geline et demis censuel

La moitié du village Mas et Ténement de Lesbaupin

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, habitant audit Couronnet, Maistre Jean PASSAVY prêtre demeurant au village de la Chaumette, Grégoire BODOL alias BOUDOL, Jean MAZON, laboureurs habitants du village de Lesbaupin paropisse de Saint-Priest, François TIXIER laboureur habitant du village de Lesbaupin paroisse de Biollet, Anna BESSE veuve d’Anthoine TEITARD de l’état de labeur habitante du village de Lesbaupin paroisse de Saint-Priest, lesquels de leurs bons gré et volontés ont reconnu être confessés, etc.…

La moitié du Mas et Ténement appelé de Lesbaupin de Pourradier et Goudol, composé de maisons, granges, jardins, prés, terres, bois, buissons, eaux, cours d’eaux, fraux et communaux, aux cens annuels et perpétuels pour ladite moitié de seize sols six deniers, seigle sept quartes, un quarton, avoine un septier demi quarte, mesure de Termes et une géline et demi… se confine et jouxte le Mas du Bladeix et de Blanquet de jour, un chemin commun tendant du Pont du Bouchet à Auzances de midy, un chemin commun tendant du village des Tours et Biollet, le Mas de la Quarte-Vieille et des Barsses de bise et partie de nuit dans lesquelles confinassions, est aussi englobée l’autre moitié du susdit village, Mas et Ténement de Lesbaupin…

Le Pré Mignot

En leurs personnes Maistre Gervais ROUDAYRE praticien résidant au village Termes paroisse de Biollet et Maistre Gilbert ROUDAYRE greffier de Pierre brune et Espinasse en qualité de tuteur des enfants feu Maistre Gervais ROUDAIRE son père et de Rose Marie CERCIRAY sa femme habitant du village de Villefranche paroisse d’Espinasse lesquels de leurs bons grés et volontés ….

Un pré appelé pré Mignot situé au lieu de Termes paroisse de Biollet contenant autour quatre journaux qui ce confine jouxte le chemin par lequel on va de Termes à la fontaine appelée Fontauvey de jour, la terre dudit Gervais ROUDAIRE de midy, les jardins des hoirs feux Antoine BARSSE et Pierre CUZY de bize, le chemin par lequel on va de Termes à Auzances et un communal le tout de nuit, au cens annuel et perpétuel de trois septiers blé seigle mesure de Termes.

Le Tènement du Treul ratification

En sa personne Maistre Louis de LAUSSEDAT praticien habitant du village de Laussedat paroisse de Saint-Priest-des-Champs, lequel de son bon gré et volonté et en vertu  de procuration a lui donnée par Damoiselle Clauda BARTOMIVAT sa tante veuve de Jean LARDIF vivant écuyer Sieur des Barsses en qualité de tutrice de leurs enfants du trente mars dernier par ROUDAIRE Notaire Royal …

Terrier de La Roche partie 2

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5 septembre 2023 2 05 /09 /septembre /2023 15:40

Le Pré Desparry et du Moully

En leurs personnes, Vénérable personne Maistre Henry BARSSE, prêtre et curé d’Ayat y résidant et Jean DESMOLLINS, laboureur habitant du village de la Roche, tous de la paroisse de Saint-Priest.

A savoir : Un pré, dont il u en avait cy devant une partye en pastural, contenant entour deux journaux, appelé le pré Desparris siné Dumoully scitué dans la paroisse dudit Saint-Priest, jouxte le Mas et Ténement du Moully, de jour et bise, le Mas et Ténement du village de La Roche de midy et nuit, aux cens annuels et perpétuels de la somme de neuf sols, etc…  

Le Village et Mas de la Chaumette

En leurs personnes, Pierre de MASCON, Escuyer, Seigneur du Poirier y résidant, paroisse de Miremont, Louis de BOSCAVERT, Escuyer, Seigneur du Bladeix, Cirgues GENESTE, laboureur habitant du village du Bladeix, Maistre Jean GERAUD, notaire Royal et greffier au baillage de Miremont, Maistre Gervais GERAUD, marchand, François LE LION, François CHAUMETTE, laboureurs habitants du village de Villemaine, Maistre Gervais PASSAVY, marchand, Gilberte CHAUMETTE veuve de Pierre MAIGNOL, Blaise CHAUMETTE, Guilhaume DESCHAMPS, Marien CLUZEL, Gervais FAUGEREIX, Anthoine TARDIF, laboureurs du village de la Chaumette, tous de la paroisse de Saint-Priest, François D’AUTOU, laboureur habitant du village de la Chaumette paroisse de Miremont.

A savoir : Le village, Mas et Ténement de la Chaumette scitués dans lesdites paroisses de Saint-Priest et Miremont, composé de maisons, granges ; estables, jardins, prés terres, pastures, bois buissons fraux, etc. et communaux qui se confine, jouxte les Mas de Boscavert, les terres et le Mas du Bladeix de bise, le Mas d’Ardailhon de nuit et les terres des de Tours et Boscavert de midy, aux cens annuels et perpétuels de la somme de cinq livres traise sols u comprise cinq sols pour une bohade, seigle dix sept septiers trois quartes, avoine cinq septiers, etc…

De plus, un droit de dime des grains naissants et croissants dans l’étendue dudit village de la Chaumette, à savoir : les deux tiers dudit dime des terres qui sont sous les bâtiments dudit village de la Chaumette comme aussy dans les Ténements appelés de l’Ayat, la Betoullas, Sur le Coudert, la Beauvadoux, aux Roudadoux, la Clidde et dans les communaux dudit village et l’autre tiers dudit dime appartient audit Seigneur du Poirier, et dans les Mas appelés de Rabasse et les Pasturaux, le quart du dime des dits Ténements appartient aussy aux dites Dames de l’Esclache, et les autres trois quarts du dime appartiennent au Sieur Prieuré de Saint-Priest et à Messieurs du Chapitre de la Cathédrale de la ville de Clermont, etc…

Le Ténement du Treul

En leurs personnes Jacques et Anthoine GRANDSAIGNE, frères, laboureurs du village des Barsses et à présent métayers au village de Couronnet, Jean BOUDOL, laboureur du village de Grandsaigne, Jeanne GERAUD, veuve de Jean PEROL, Jean BARSSE, Amable BARSSE, François ROUCHON, Jean PEROL fils à Gilbert et Anthoine FELUT, tous laboureurs demeurant au village des Barsses.

A savoir : Le Mas et Ténement appelé du Treul, composé de terres d’environ trente septerées, jouxte les Mas de Ruinier et de Vistuary, de jour, le Mas du Bladeix de midy, un chemin commun venant du village de la Chaumette au village de la Roche de nuit, autre chemin commun tendant du village de Gandichoux au village de Grandsaigne de bise, aux cenx annuels et perpétuels de la somme de sept sol six deniers, seigle sept quartons, avoines sept quartes, mesure de Termes, etc…

Le Ténement de Bourdil alias Barghon

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, Jean BARGHEON, Louis BARGHON, Jean ARBITRE en qualité de tuteur de ses neveux habitants au lieu de Bargheon et Jean MARTIN, maréchal habitant le village de Termes paroisse de Biollet.

A savoir : Le village, Mas et Ténement de Bourdel alias Barghon, composé de maisons, granges, estables, jardins, prés, terres, bois, buissons, fraux, communaux, eaux, cours d’eau, qui se confine jouxte le Mas et Terres de Couronnet de jour, le Mas de la Roche de bise, le Mas de Grandsaigne de midy et le Mas du Davideix de nuit, aux cens annuels et perpétuels de la somme de quarante sept sols, seigle deux septiers, ect…

Le Bordil alias Barghon pour le pré de l’Étang

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, Jean BARGHEON, Louis BARGHON, Jean ARBITRE en qualité de tuteur de ses neveux habitants au lieu de Bargheon.

Le Village et Mas de Laussedat

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, Maitre Louis de LAUSSEDAT, praticien, habitant le village de Laussedat, Jean BARSSE fils à feu Pierre, habitant Gandichoux, Jean CONSTANT, Sergent, en qualité de tuteur des enfants de feu Jean CONSTANT habitant au village de la Villefranche paroisse d’Espinasse, Jean MAZERON le jeune laboureur habitant du village de Puy-Pelat, Annet MERLIN laboureur habitant le village de Boulard, paroissiens de Biollet.

A savoir : Le village, Mas et ténement de Laussedat situé dans ladite paroisse de Saint-Priest composé de maisons, granges, estables, jardins, prés et terres, bois, buissons, fraux et communaux, eaux et cours d’eaux, qui ce confine jouxte les mas de Raghade et de la Roche de jour, le mas du Bordel et de Bolard, les terres du prat de nuit, et les terres de Fonteleire de bise, au cens annule et perpétuel de la somme de cinquante sols sept deniers, cinq septiers deux coupes avoine, mesure de Termes, gélines quatre censuels.

Le Ténement de Prat-Rocheix

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, Maitre Louis de LAUSSEDAT, praticien, habitant le village de Laussedat, Jean BARSSE fils à feu Pierre, habitant Gandichoux, Louis BARGHEON, laboureur habitant du village de Barghon, Jean CONSTANT, Sergent, en qualité de tuteur des enfants de feu Jean CONSTANT habitant au village de la Villefranche paroisse d’Espinasse, Annet MERLIN laboureur habitant le village de Boulard.

Savoir : Le Mas et Ténement se Prat Rousseix, situé dans ladite paroisse de Saint-Priest, composé de mazures de bastiments, jardins, prés et terres, paschiers, bois, buissons, fraux et communaux et autres quelconques, qui ce jouxte le Mas de Laussedat de jour et de bise, un chemin commun tendant du village de Grandsaigne au bourg de Biollet de midy et les terres du Prat de nuit, aux cens annuels et perpétuels de la somme seize sols huit deniers oboles, seigle sept quartes deux coupes, avoine cinq quartes deux coupes et demi, mesure de Termes et une géline.

Le Village, Mas et Ténement de Reghade

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, Vénérable personne Henry BARSSE, prêtre et curé d’Ayat y résidant, Jean JOUHET marchand du village de Reghade, Annet ARBITRE, Pierre ARBITRE fils à Gilbert, Henry ARBITRE, tant pour lui que pour ses neveux, tous laboureurs habitants du village de Reghade, Jean BARSSE, fils à feu Pierre laboureur habitant du village de Gandichoux, Anthoine ARBITRE, laboureur du village Desparris, Jean DESMOULINS, laboureur du village de la Roche, Louis de LAUSSEDAT, praticien du village de Laussedat, Jean CONSTANT, Sergent, en qualité de tuteur des enfants de feu Jean CONSTANT habitant au village de la Villefranche paroisse d’Espinasse, Annet MERLIN laboureur habitant le village de Boulard.

A savoir : Le village, Mas et Ténement appelé de Reghade, composé de maisons, granges, estables, jardins, prés, terres, bois et buissons, fraux et communaux, eaux et cours d’eaux, qui se confine jouxte les Mas Desparris et le Mollin de jour, le Mas de la Roche de midy, le Mas de Laussedat de nuit et le Mas de la Rochette de bise, aux cens annuels et perpétuels de la somme de trente-huit sols huit deniers cinq septiers, trois quartonnés deux coupes bled, seigle, cinq septiers cinq quartes et un boisseau avoine, mesure de Termes et six gélines censuels.

Le Village et mas de la Roche

En leurs personnes, Dlle Anna LARDIF veuve d’Henry de SERVIERES, vivant Écuyer, Seigneur de Couronnet, Vénérable personne Henry BARSSE, prêtre et curé d’Ayat y résidant, Jean DESMOULINS, laboureur du village de la Roche, Jean BARSSE, fils à feu Pierre laboureur habitant du village de Gandichoux, Louis BARGHON, Jean BARGHON, Jean ARBITRE, en qualité de tuteur des enfants de feu Pierre ARBITRE, laboureurs habitants du village de Barghon, Maitre Louis de LAUSSEDAT, Jean JOUHET, Annet ARBITRE, Henry ARBITRE, laboureurs de Reghade.

A savoir : Le village, Mas et Ténement de la Roche, composé de maisons, granges, estables, jardins, prés, terres, paschiers, bois et buissons, fraux et communaux, eaux et cours d’eaux, et autres quelconques, qui se confine jouxte les Mas du Goutet et du Vistuary de jour, les Mas de Coronnet et de Barghon de midy, le Mas de Laussedat de nuit, les Mas de Raghade et du Moully de bise, aux cens annuels et perpétuels de la somme de quarante-deux sols un denier,seigle six septiers une quarte, avoine deux septiers sept quartes deux coupes mesure de Termes, deux gélines et un quart…

Terrier de La Roche partie 1

Terrier de la ROCHE partie 3

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15 juin 2023 4 15 /06 /juin /2023 22:22

J'ai relevé les noms des laboureurs et la situation des Mas et Ténements. Peut-être que certaines parcelles de terre ont gardé leurs noms sur le cadastre Napoléon. J'ai gardé l'écriture à peu près l'écriture du document.

Certains vont peut-être gagner une génération dans leur arbre généalogique. Bonne lecture, la suite arrive.

Pour Dame Catherine Angélique de MONTMORIN-SAINT-HEREM, abbesse de l’Esclache

Me René SERTILHANGES notaire royal résidant au bourg de Laqueuille

Par Maistre Philibert GORY notaire et bailli de Confolent habitant au village de Gaulme

Grégoire BARGHE métayer du Sieur GORY

Maistre Jean PREUL procureur d’office dudit Confolant habitant du village du Pont du Bouchet paroisse de Miremont

Annet MAZON, laboureur habitant du village de Doucet paroisse de Saint-Priest

 

Le village de Gandichoux pour le mas du Goutet

En leurs personnes Estienne BARSSE fils à feu Pierre, Claude BARSSE et Marie JOUHET veuve de Gilbert GILLET, de l’état de laboureurs habitants du village de Gandichoux et Jean BARSSE l’ainé, laboureur dudit Gandichoux et à présent métayer au village de l’Esbeaupin, tous paroisse de Saint-Priest.

A savoir : Un Mas et Ténement de Gandichoux et le Goutet, composé de jardins, prés, terres, bois, buissons, fraux et communaux qui se confinent jouxte le mas de Beaufessoux, un chemin entre deux de jour (sud),  les terres du mas du Mouli et de Regheade de bise (nord), les terres du ma s de Reghade de nuit (ouest), les terres du mas de Guandissoux de midy (sud), au cense annuel et perpétuel, de la somme de quinze sols et dix deniers, seigle trois esmines, avoine un septier à raison de de neuf quartes le septier mesure de Termes, gélines deux.

Gandichoux pour le tènement de La Vergne

En leurs personnes, Estienne BARSSE, Sergent, Pierre FOURNON, Anthoine de la CARTHE, Marin LOUIS, Amable CHAUVEUX, Marie JOUHET veuve de Gilbert GILLET, Claude BARSSE, Jean BARSSE fils à feu Pierre, laboureurs habitants du village de Gandichoux et Anthoine MOREUL, laboureur habitant du village du Bladeix, tous paroisse de Saint-Priest.

A savoir : Un Mas et Ténement appelés de la Vergne, située dans ladite paroisse de Saint-Priest, composé de Prés et terres, bois, buissons, fraux et communaux et autres contenant en tout quarante journaux de prés ou septerées de terre qui se confinent jouxte le chemin tendant du village de Gandichoux à la Chaumette de midy (est), le chemin partant du Bladeix à Saint-Priest de jour (sud), un rif appelé de la Vergne partant de la fontaine appelée Daurif du Giraudon et finissant à la ganne de la Vergne de bise (Nord) et nuit (Ouest), au cense annuel et perpétuel, de la somme de sept sols et huit deniers pite et demy pite, seigle sept quartes deux couppes,  avoine huit quartons quatre couppes à raison de neuf quartes le septier mesure de Termes, gélines deux

Le Mas et Ténement de Runier

En leurs personnes, Louis de BOSCAVERT, Écuyer, Sieur du Bladeix, Anthoine MOREULLE, Françoise BOSCAVERT, Cirgues GENESTE, laboureurs habitants du village du Bladeix, Jean BARSSE l’Ainé, Jean BARSSE fils à feu Pierre, Claude BARSSE, Anthoine de la CARTHE, Amable CHAUVEUX, Anthoine et Pierre GILLET, frères, Pierre FOURNON, Marie JOUHET, veuve de Gilbert GILLET, de l’état de laboureurs habitants du village de Gandichoux, Anna FREDEVAL veuve d’Anthoine GRAND, de l’état de laboureur habitant du village des Barsses. Tous paroisse de Saint-Priest.

A savoir : Un Mas et Ténement appelés de Runier, située dans ladite paroisse de Saint-Priest, composé de Prés et terres, bois, buissons, fraux et communaux, lequel se confine jouxte les terres dudit Jean BARSSES Gounou fils à feu Pierre et le pré desdits Anthoine et Pierre GILLET frères, laquelle terre et pré sont dans le ténement du Vistuari, qui est aussi de la directe desdites de l’Esclache, de bise ; le chemin commun venant du village de la Chaumette au village de Guandichoux de jour ; le Ténement du mas de Treul qui est aussi de la directe desdites dames de nuit ; un tertre faisant limite entre le mas appelé de Madame situé dans les appartenances du Bladeix, qui est aussi de la directe des Dames de l’Eclache, lequel tertre part du communal appelé du Paghadis où il y a une borne plantée, allant et suivant le tertre jusqu’au bois appelé Le Beasse Tailhade de Runier en partye de jour, midy et nuit, et le pastural à présent converti en pré appelé du Pecher, lequel pastural a été englobé dans le pré à présent possédé par le Sieur Louis de BOSCAVERT, aussy de Midy,  au cense annuel et perpétuel, de la somme de vingt deux sols et quatre deniers aubole, seigle trois septiers une couppe et demy,  avoine trois esmines à raison de neuf quartes le septier mesure de Termes, une gélines

Le Ténement et Mas du Vistuary

En leurs personnes, Jean BARSSE fils à feu Pierre, Claude BARSSE, Marin LOUIS, Pierre FOURNON, Anthoine GILLET, Pierre GILLET, Anthoine la CARTHE, Marie JOUHET veuve de Gilbert GILLET, Amable CHAUVEUX, tous laboureurs, Estienne BARSSE, Sergent, habitants du village de Gandichoux, Jean BOUDOL laboureur du village de Grandsaigne, Jean PEROL, Gilbert PEROL, Anthoine FELLUT, Françoise ROUCHON, Amable BARSSE, laboureurs habitants du village des Barsses, Jacques et Anthoine GRANDSAIGNE, frères, laboureurs dudit village des Barsses et à présent demeurant métayer au village de Couronnet, et Jean BARSSE, laboureur habitant du village des Barsses.

A savoir : Un Mas et Ténement appelés du Vistuary, située dans ladite paroisse de Saint-Priest, composé de maison, granges, estables, jardins, prés et terres, bois, buissons, fraux et communaux et autres contenant autour dix journaux de prés et entour soixante septerées de terre, lequel mas et ténement  confinent jouxte le mas du Ruinier, aussy de la directe des Dames, de midy, un chemin tendant du village du Bladeix au village de Gandichoux, de jour, les terres et paschiers des Barsses et un chemin, de bise, le mas du Treul , de nuit, les terres du village de Coronnet aussy de nuit, au cens annuel et perpétuel, de la somme de vingt, seigle et avoine quatre septiers, savoir deux tiers seigle et un tiers avoine, mesure de Miremont.

Le Pré de la Prade

En leurs personne, Jean GRAND Bignou et Anna FREDEVAL veuve d’Anthoine GRAND de l’état de laboureurs habitants du village des Barsses.

A savoir : Un pré appelé de la Pradde contenant en tout un journal, jouxte le Mas du Bladeix de jour et de midy qui est aussi de la recette des dittes dames et le mas appelé de Nébouzat proche le village des Barsses de bise et nuit, le susdit pré de la Pradde situé dans ladite paroisse de Saint-Priest au cen annuel et perpétuel de la somme de sept sols six deniers

Le Village et Ténement Desparris

En leurs personne, Anthoine ARBITRE, Michel BARSSE, Michel GENETTE et Jean DESPARRIS, laboureurs habitants du village Desparris, Claude BARSSE, Jean BARSSE, l’aisné, Jean BARSSE fils à feu Pierre, Marie JOUHET, veuve de Gilbert GILLET, Estienne BARSSE, Sergent, habitants du village de Gandichoux, et Jean DESMOULINS habitant du village de la Roche, tous paroisse de Saint-Priest.

A savoir : Le village, mas et ténement Desparris situés dans ladite paroisse de Saint-Priest, composé de maisons, granges, estables, prés, terres, paschiers, bois, buissons, fraux et communaux qui se confine jouxte le mas de Moly de midy, le mas de Goutet de jour, le mas de Reghade de nuit, tous aux dites Dames , et l’Estang grand appartenant à Monsieur le Comte de CLEREUAU ? de bize, au cens annuel et perpétuel de la somme de six sols, seigles deux septiers, avoine six quartes mesure de Termes et gélines deux.

Le Ténement du Moully

En leurs personnes, Michel BARSSE, Anthoine ARBITRE, Michel GENETTE, laboureurs habitants du village Desparris, Vénérable personne Henry BARSSE, curé d’Ayat y résidant et Jean DESMOULINS, laboureur habitant du village de la Roche, tous de la paroisse de Saint-Priest.

A savoir : Le mas et ténement appelé du Moully situé sur la paroisse de Saint-Priest composé de prés, terres, bois et buissons qui ce confine jouxte le mas du Goutet de jour, le mas Desparris de bize, le mas de Reghade de nuit et le mas de Roche de midy, tous au dites Dames, au cens annuel et perpétuel de trois sols dix deniers, seigles cinq quartons, masure de Termes.

Terrier de La Roche partie 2

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11 mai 2023 4 11 /05 /mai /2023 16:28

Réunion de Saint-Priest-des-Champs et de Besserve

 

Le 12 vendémiaire an 12 (12/10/1803, le maire de la commune de Besserve écrivait ceci :

« La commune de Besserve, arrondissement de Riom, vous représente respectueusement, par mon organe, que la réunion à Saint-Priest-des-Champs est absolument illusoire, tant pour le temporel que pour le spirituel.

Besserve est également distant de Saint-Priest et de Saint-Gervais chef-lieu de canton, mais avec cette différence, que le chemin de Besserve à Saint-Priest présente une montagne longue et rapide, couverte de rochers et inaccessible aux chevaux. Dans le vallon coule un torrent que l’on ne peut traverser les trois quarts de l’année à cause de ses fréquents débordements en été et ses glaces en hiver. Au lieu que la route de Besserve à Saint-Gervais offre au voyageur une belle plate-forme où les voitures peuvent rouler aisément en tout temps ; d’ailleurs Saint-Priest devient absolument inutile à Besserve sous tous les rapports, au lieu que Saint-Gervais est le centre de ses affaires et de son commerce.

Cela considéré, veuillez, citoyen préfet, rectifié le reçu ? que le défaut des connaissances locales à fait commettre en réunissant Besserve à Saint-Priest.

Salut et respect » ; signé Renard, maire

 

Le sous-préfet de l’arrondissement communal a porté une annotation sur cette lettre.

« Vu la pétition ci-contre, le sous-préfet de l’arrondissement communal de Riom, estime que si la réunion de la commune de Besserve à celle de Saint-Gervais convient mieux à la majorité des habitants de ladite commune de Besserve, que si cette commune était réunie à celle de Saint-Priest-des-Champs, il ne peut y avoir de difficulté dans la réunion demandée d’autant mieux que dans tous ces arguments on doit consulter les habitants qui doit seul déterminer en sous-préfecture à Riom. »

 

Le 12 brumaire an 12 (04/11/1803), le conseiller de préfecture écrit ceci :

« Citoyen, j’ai l’honneur de vous adresser expédition de l’arrêté portant autorisation aux membres du conseil municipal de Besserve de s’assembler, relativement à la réunion de cette commune à celle de Saint-Priest-des-Champs, contre laquelle les habitants réclament et demandent d’être réunis à Saint-Gervais. Je vous prie … »

 

Autre courrier du 12 brumaire an 12

« Vu la pétition du maire de Besserve, par laquelle il expose que la majorité des habitants s’exclament contre la réunion qui a été faite de ladite commune à celle de Saint-Priest-des6champs, formulent qu’elle conviendrait mieux à celle de Saint-Gervais, motivé sur les difficultés qu’ils éprouvent pour ce rendre dans cette première commune, d’un côté en raison des montagnes qui la sépare et de l’autre d’un torrent qu’on ne peut traverser pendant trois-quarts de l’année à cause de ses fréquents débordements en été et de ses glaces en hiver, etc…

Le conseiller de préfecture remplaçant le préfet absent, considère qu’il appartient au conseil municipal de délibérer sur les intérêts communs.

Article 1er : Les membres du conseil municipal de la commune de Besserve sont autorisés à s’assembler à l’effet de s’assurer siles inconvénients rapportés par le maire dans la réunion de leur commune à celle de Saint-Priest-des-Champs sont tels que les habitants éprouvent pour s’y rendre, en raison de leurs affaires et de leur culte. Des difficultés presque insurmontables, seront plus avantageux à leur commune d’être réunie à celle de Saint-Gervais.

Article 2 : Le maire demeure chargé de l’exécution du présent arrêté et de transmettre à la préfecture expédition de la délibération à intervenir pour être statuée.

Fait à l’hôtel de préfecture à Clermont-Ferrand »

 

Archives Départementales du Puy-de-Dôme, dossier 2 O 2375

Fusion de Saint-Priest et de Besserve

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20 avril 2023 4 20 /04 /avril /2023 14:14

Le terrier  de la Roche est un livre assez volumineux qui comprend 440 pages. Pour pouvoir le consulter tranquillement il est nécessaire de le numériser, ce que je ferais à ma prochaine visite aux Archives Départementales.

Je vous propose un avant goût des mas et tènement qui font partie de ce terrier. Il sera très difficile pour certains  de les situer sur une carte actuelle, à part pour ceux qui ont encore une apparence sur le cadastre napoléonien ou sur les cartes actuelles. Peut-être que certains d'entre vous se rappelleront d'un nom. On retrouve facilement la Vergne entre Gandichoux et le Bladeix au bord de la D 987.

Qu'apporte ce terrier. Le plus intéressant ce sont les noms des laboureurs qui travaillent et vivent sur ces terres. Il a été fait entre 1672 et 1683, période où les registres paroissiaux n'existent pas. Exemple pour Gandichoux et le tènement de la Vergne :

Estienne BARSSE, sergent, Pierre FOURNON, Anthoine de la CARTHE, Marien LOUIS, Amable CHAUVEUX, Marie JOUHET veuve de Gilbert GILLET, Claude BARSSE et Jean BARSSE fils de feu Pierre, tous laboureurs habitants du village de Gandichoux et Anthoine MORULE certainement MOREUL, laboureur habitant le village du Bladeix.

A très bientôt pour la suite.

Terrier de la Roche, partie 1
Terrier de la Roche, partie 1
Terrier de la Roche, partie 1
Terrier de la Roche, partie 1
Terrier de la Roche, partie 1

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5 avril 2023 3 05 /04 /avril /2023 20:35

Il existe aux Archives Départementales trois livres de terrier qui sont archivés dans le fonds de l’Abbaye de l’Esclache. Cette découverte est rare, il ne reste que très peu de ces documents qui ont été souvent détruits à la Révolution.

D’abord, pour ceux qui ne connaissent pas, le terrier est un registre comprenant la description des terres et censives dépendant d’un seigneur ou ici d’une congrégation religieuse. Disons que la description du fief est un premier plan cadastral (certains terriers sont complétés d’un plan) et la censive est la redevance annuelle payée pour une terre en argent ou en nature (blé, avoine, foin, etc..). Le terrier, en principe, devait-être renouveler tous les vingt ou trente ans.

C’est en recherchant des données dans Gallica sur le patronyme BOSCAVERT, qu’un rapport du préfet, 1er janvier 1886, décrivait un inventaire des archives de Montaigut fait par G. ROUCHON. Dans cet inventaire il y notait deux terriers pour Saint-Priest-des-Champs, un de 1466 et l'autre de 1577, ainsi qu'un terrier de La Roche de 1672.

J’ai donc posé la question aux Archives Départementales pour savoir s’ils conservaient ces documents. La réponse fut rédigée ainsi : J’ai l’honneur de vous faire savoir que deux articles portant sur cette localité sont conservés dans les fonds de l’Abbaye de l’Esclache sous les cotes suivantes :

  • Terriers de 1466 et 1577, 59 H 30
  • Terrier de la Roche, 59 H 28

Maintenant il ne reste plus qu’à photographier tous ces documents. Le terrier de La Roche semble assez facile à lire, pour les deux autres c’est une autre affaire.

Couverture terrier 1466-1469

Couverture terrier 1466-1469

Couverture terrier 1577-1578

Couverture terrier 1577-1578

Terrier de La Roche 1672

Terrier de La Roche 1672

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7 septembre 2021 2 07 /09 /septembre /2021 22:49

Du temps des Grecs et des Romains, déjà des impôts étaient prélevés auprès des citoyens pour faire face aux charges de l’état. Ceux-ci perdurèrent en Gaule, sous les Mérovingiens et sous les Carolingiens, pendant tout le Haut Moyen-Âge.

Pendant le Moyen-Âge, du Xe au XIIIe siècle, l’impôt est féodal par les banalités et les dîmes. Ce sont les seigneurs et les ecclésiastiques qui perçoivent la plus grosse partie de ceux-ci, la part du Roi étant celle qu’il tire de son domaine.

L’Ost est un service militaire féodal dont les dépenses son à la charge du vassal. L’Ost est dû par tout vassal à son seigneur. A l’origine le temps de service est illimité, il est réduit ensuite à quarante jours par an.

Avec le développement des techniques militaires et l’extension des conflits de longue durée, auxquelles la France d’alors se trouve confrontée, telle la Guerre de Cent Ans, le service de l’Ost est apparu comme dépassé dès le XVe siècle. Les barons pouvant se retirer avec leurs troupes au milieu d’une campagne, si leur temps était accompli, obligeant ainsi le Roi à payer les journées supplémentaires.

L’Ost est progressivement remplacé par le paiement d’une somme forfaitaire, qui sert alors au Roi à payer des mercenaires et à entretenir une armée de métier.

Et pour trouver l’argent, on met en place un impôt de répartition, au départ temporaire pour devenir permanent, qui prend le nom de « Taille[1] ». Son montant est fixé chaque année par le conseil du Roi qui va le répartir entre les généralités, qui sont des circonscriptions fiscales et administratives d’échelle régionales.

Les premières généralités au nombre de 6 en 1356, placées sous l’autorité d’un receveur général, auquel il est adjoint ultérieurement un trésorier général. Elles sont chargées de prélever les produits des différentes impositions royales directes et indirectes. A la Révolution en 1789, le nombre des généralités est passé à 34.

Une fois le montant de la Taille fixé par les conseillers du Roi entre les généralités, les intendants la répartissent à leur tour entre les différentes circonscriptions du Royaume, jusqu’aux paroisses, puis les « Sergents des Tailles » collectent auprès des taillables, les impôts dont ils ont fixé le montant. Ces derniers sont personnellement responsables des sommes dues au souverain. La quasi majorité du royaume est sous le régime de la Taille personnelle ; la noblesse, le clergé et les bourgeois en sont exclus.

Les documents fiscaux de l’époque utilisent le terme « feu » pour regrouper les personnes qui vivent dans un même foyer. Sous ce nom on trouve le père, la mère, les enfants, les ascendants, les collatéraux et les domestiques. Ce dénombrement permet de déterminer, grosso-modo, le nombre d’habitants d’une paroisse, pour estimer plus tard le montant de la Taille.

C’est en général, à l’intérieur de l’église, que les habitants se rassemblent pour discuter de la répartition communautaire. Ceux-ci délèguent leurs pouvoirs à des représentants élus ; les « échevins[2] » qui sont appelés à les représenter face au pouvoir seigneurial et à l’administration royale.

Les échevins sont élus pour deux ans, la première année ils ont le titre d’asséeurs[3] et l’année suivante ils sont chargés de la collecte.

Il existe cinq types de taille correspondant aux différents revenus :

  • La taille de propriété acquittée par les propriétaires sur les revenus de leurs propriétés ;
  • La taille d’occupation, qui est l’ancêtre de notre taxe d’habitation ;
  • La taille d’exploitation payée par les exploitants sur les revenus de leurs exploitations ;
  • La taille d’industrie et de commerce ;
  • La taille des bestiaux acquittée sur les revenus de l’élevage.

 

Le versement se fait en deux ou quatre termes auprès du receveur des deniers royaux

 

La part revenant à chacun des imposés à tendance à augmenter à partir du XVIIe siècle, sous Richelieu et Mazarin, à cause du déficit permanent de l’état ; guerres, armée de 30.000 hommes, entretien de la cour du Roi et coût des châteaux (64 millions de livres pour Versailles). Cela conduit inexorablement aux révoltes que nous connaissons.

 

Sources :

  • La Taille, A Moi Auvergne N° 93, 3e trimestre 2000, publication du C.G.H.A.V., article de Claude PAULET.
  • - Wikipédia
 

[1] La Taille est avec la gabelle l’impôt direct le plus impopulaire de l’Ancien Régime. Cet impôt peut peser sur les individus ou sur la terre, suivant les régions. Il devient annuel et permanent en 1439.

[2] Au Moyen-âge un échevin est un magistrat, élu par l’ensemble des habitants, pour s’occuper des affaires paroissiales.

[3] Un asséeur était, dans chaque paroisse, celui qui était chargé d’asseoir l’impôt, autrement dit de déterminer son assiette, c’est-à-dire de répartir les biens et revenus sur lesquels la taille est assise, calculée.

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24 mai 2021 1 24 /05 /mai /2021 21:52
De Boscavert

Boscavert (de)

Armes : d’argent semé de glands de sinople à la bande ondée de gueules, brochant sur le tout au chef cousu d’or chargé de trois merlettes de sable.

Origine : Famille noble ayant possédé dès le XVe siècle le fief du Bladeix dans la paroisse de Saint-Priest-des-Champs en basse Auvergne, et qui ne parait pas avoir été inquiétée, au moment de la recherche de la noblesse en Auvergne car aucun jugement ne fut rendu à son sujet. Elle s’est divisée à partir de 1570 en deux branches, l’aînée restant en Auvergne et la cadette allant s’établir en province du Poitou, où elle a subsisté jusqu’au début du XIXe siècle. La branche auvergnate s’est éteinte par une fille unique alliée en 1705, à la maison de Douhet de Marlat.

Dans le dictionnaire Historique, biographie et généalogie des familles de l’ancien Poitou, tome 1, on trouve BOSQUEVERT. Cette famille noble et ancienne, fixée à Saint-Maixent, est, dit l’auteur des Affiches du Poitou, d’origine anglaise.

Les renseignements proviennent des recherches de D. FONTENEAU et de nombreux documents réunis par M. d’ORFEUILLE, lesquels ont été communiqués par M. GARNIER.

On écrira BOSCAVERT, sachant qu’en Poitou le nom est devenu BOSQUEVERT.

 

  1. Pierre de BOSCAVERT, écuyer, Seigneur du Montet-de-Chéraud en Auvergne, eut pour fils :
  • Aimé, qui suit en 2 ;

 

  1. Aimé de BOSCAVERT, écuyer, Seigneur du Montet, qui épousa, par contrat du 10 février 1444, Dlle Marguerite de FONTENAI ou de FONTANAC, fille de Gilbert ou Maurice, écuyer, Seigneur de Blandine ou de Blandinière, il eut pour enfants :
  • François, qui suivra en 3 ;
  • Guillaume ;
  • Pierre ;
  • Antoinette ;
  • Philippe ;

Qui, le 15 mars 1480, se partagèrent les biens provenant des successions de leurs père et mère.

 

  1. François de BOSCAVERT, écuyer, Seigneur du Montet, fils aîné des précédents, épousa, par contrat du 23 janvier 1473, Dlle Isabeau de BLANGIS, fille d’Antoine, écuyer, Seigneur dudit lieu. Guillaume et Pierre de BOSQUEVERT, ses frères puinés, assistaient à son contrat de mariage. De ce mariage sont issus :
  • Charles, qui suit en 4 ;
  • Antoine, qui assiste au contrat de mariage de son frère, en 1499 ;

 

  1. Charles de BOSCAVERT, écuyer, Seigneur du Bladeix (paroisse de Saint-Priest-des-Champs) et du Montet (que nous croyons le lieu de même nom situé commune de Condat, canton de Pontaumur), fut marié, par contrat du 4 mars 1499, à Antoinette de ROCHESERVIÈRE, fille de noble homme Jean-Baptiste, écuyer, Seigneur du dit lieu. De ce mariage sont issus :
  • Charles, partage avec Gilbert son frère, les successions de leurs père et mère, en 1537 ;
  • Michel, qui suit en 5 ;
  • Gilbert, qui le 16 août 1537, partagea avec Charles de BOSCAVERT, son frère aîné les successions de leurs père et mère.

 

  1. Michel de BOSCAVERT, écuyer, Seigneur du Bladeix et du Montet, épousa, par contrat du 15 juin 1530, Antoinette BOUDOL ou BOUDET, fille d’Antoine, écuyer, Seigneur des Barsses ou des Barres. Tous deux moururent avant le 30 septembre 1571 où leurs trois fils Michel, Amable et Jean se partagèrent leur succession, le 30 novembre 1571. Ils avaient pour enfants :
  • Michel, qui suit en 6 ;
  • Amable, auteur de la branche du Poitou ;
  • Jean ;

 

  1. Michel de Boscavert, IIe du nom, écuyer, seigneur du Bladeix et du Montel, Greffier de Confolent et du Chirol, vivant vers 1570 dont le nom de la femme est ignoré, laissa entre autres enfants :
  • Jean, qui suit en 7 ;
  • Antoine, aumônier du Roy et prieur de Jussat, religieux de Menat, présent au mariage entre Antoine Boscavert (que nous croyons un bâtard d’un membre de cette famille) avec Jeanne Brelon du village de Villecitroux, paroisse d’Espinasse, célébré dans l’église de Saint-Priest-des-Champs le 21 février 1605 [Reg. Cath.].

 

 

  1. Jean de Boscavert, écuyer, seigneur de Bladeix et du Montel fut parrain à Saint-Priest-des-Champs, le 5 août 1600. Le nom de sa femme est ignoré. Ses enfants furent :
  • Annet, qui suit en 8 ;
  • Claude, mariée deux fois : 1ères noces, avec Jean de la Barge, écuyer, seigneur du dit lieu, paroisse de Vitrac. 2èmes noces, par contrat du 28 novembre 1619 avec Jean d’Anglards, dit « Anglardon », seigneur de la Gravière, et de Jeanne de Neufville [I.R., Reg. 115 f°343]. Elle mourut et fut ensevelie dans l’église de Saint-Priest-des-Champs, le 5 janvier 1640.
  • Jeanne, mariée avec noble Jacques de Courbières, chevalier de la compagnie de Monsieur frère du Roi, dont elle est dite veuve dans un acte de vente passé par elle à Pont-du-Château, le 16 avril 1648 [A.D., 5E, L. 62c.20].

 

  1. Annet de Boscavert, écuyer, seigneur du Bladeix, paroisse de Saint-Priest-des-Champs, décédé avant le 9 octobre 1672, épousa par contrat reçu Chauriol, notaire le 16 janvier 1623, Jacquette de FONTMARTIN, fille de feu noble Martial de FONTMARTIN, conseiller du Roi et élu en l’élection du bas Limousin et de Gasparde de LANTUEL. Ce contrat fut passé au château de Fontmartin, en Limousin, en présence de noble Jean de BOUCHERON, seigneur d’Ambrugeac, noble Antoine de SALVERT, écuyer, seigneur de Neufville et la Chautbrandon, noble Guillaume de PANEVÈRE, écuyer, seigneur de la Rochette, noble Jean ANGLARDON, écuyer, seigneur de la Gravière, noble Antoine BOUDET, écuyer, seigneur des Barres, noble Charles de FARGADIE, écuyer, seigneur de la Praderie, noble Louis du BOUSQUET, écuyer, seigneur du dit lieu, noble Henri de la GRAVIÈRE, écuyer, seigneur de Lestrade, beaux-frères de la future épouse [I.R., Reg. 119, f° 387]. Ses enfants furent :
  • Louis, qui suit en 9 ;
  • Gabriel, né le 12 au Bladeix et baptisé le 13 juillet 1629 à Saint-Priest-des-Champs[1] ;
  • Antoinette, intervint par procuration au contrat de mariage de son frère Louis, le 9 octobre 1672 et lui fit donation de tous ses biens sous réserve de l’usufruit sa vie durant [I.R., Reg. 154, f° 229 V)].

 

  1. Louis de Boscavert, écuyer, seigneur du Bladeix, épousa par contrat de mariage reçu Jean Grandsaigne, notaire le 9 octobre 1672, Antoinette de La Salle, fille de Louis de La Salle, chevalier, seigneur de Puygermaud, capitaine des gardes du Roi Louis XIII et de Catherine de Pelisson. Ce contrat fut passé dans la maison noble de Puygermaud, en présence de Charles du Boucheron, écuyer, seigneur d’Ambrugeac, François de La Chassignolle, écuyer, seigneur d’Envaux, Claude de Prades, écuyer, seigneur de Neuffons, Claude de Murat, écuyer, seigneur de Serre et honorable homme Jean Gransaigne, notaire royal et bailly de Saint-Priest [I.R., Reg. 154, f° 229 v°]. Il eut de ce mariage :
  • Gilberte, mariée, paroisse de Lanobre (Cantal) le 19 janvier 1705, avec François de Douhet, écuyer, seigneur de Marlat et d’Estaux, fils de Jean de Douhet, écuyer, seigneur de Marlat et d’Estaux, et de Jeanne de Murat sa 2ème femme. Il mourut avant l’année 1723 où sa veuve agissant comme tutrice de leurs enfants rendit hommage au roi pour la seigneurie d’Estaux, paroisse de Saint-Pardoux-la-Tour.
 

[1] Parrain Noble Gabriel DESCHAMPT, seigneur du susdit lieu, marraine Dlle Claude de BOSCAVERT, Dlle de Lacost, présent Gilberte MOUREUL.

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3 mars 2021 3 03 /03 /mars /2021 18:17

Un médecin à dit, en 1789, en parlant des paysans auvergnats : « Ces sortes de gens vivent si rapprochés entre eux dans leurs chaumières, et prennent si peu de précautions contre la contagion des épidémies que si l’un d’entre eux contracte une maladie, bientôt elle se communique à toute la famille et au village et y fait des ravages étonnants. »

Ainsi, le manque total d’hygiène, et la mauvaise alimentation, étaient une porte ouverte à la maladie pars suite de la promiscuité dans laquelle on vivait et la moindre résistance qu’offrent débilités à l’envahissement par les microbes, ces microbes infectieux dont on n’avait aucune idée autrefois : aussi, des familles entières se trouvaient être des victimes offertes aux maladies infectieuses. N’ai-je pas trouvé, dans une même famille des Paillers de Menat, 6 décès en une semaine. Au Montel-de-Gelat, en trois jours, en mars 1778, meurent le père, la mère et le fils. On relèverait une infinité d’exemples comme ceux-là sur les registres de catholicité si on s’en donnait le but. Et puis, le paysan se soignait-il ?

Quelles étaient ces maladies si meurtrières ? Il est difficile de le savoir aujourd’hui.

Legrand d’Aussy (Voyage en Auvergne, t. III) avait relevé sur les rapports de subdélégués de 1786, en dehors des endémies normales dans certaines régions : goître dans les vallées, crétinisme en pays vinicole, etc., des maladies chroniques et accidentelles que l’on désignait sous les adjectifs d’aiguës, d’épidémiques et autres pareilles.

Pour la délégation de Montaigut, il cite : fièvres intermittentes, militaires, putrides et cathorrales. Dans la subdélégation de Langogne, sud de la Combraille : fièvres tierces, très peu de pleurésies, quelques fluxions de poitrine. Je n’ai rien trouvé pour les cantons actuels de Pionsat, Menat et Saint-Gervais, alors et depuis 1630 rattachés à la province du Bourbonnais au point de vue administratif et dont les archives de la série C ont brûlé à Moulins lors d’un incendie en 1856.

Les fièvres intermittentes, c’était le paludisme, causé par les piqûres de moustiques en zone marécageuse ou d’étangs, autrefois nombreux, piqûres qui introduisaient dans les globules rouges du sang des sporozoaires parasites du genre plasmodium. Le plasmodium vivax qui donnait la fièvre tierce bénigne, accès de fièvre à 40° tous les trois jours ; le plasmodium malariae, qui donnait la fièvre quarte, avec accès tous les quatre jours ; le plasmodium falciparum, qui donnait la fièvre tierce maligne et les fièvres pernicieuses pouvant amener la mort par des embolies de parasites dans les capillaires du poumon, de l’intestin, du foie, surtout du cerveau.

La fièvre militaire était la maladie épidémique connue sous le nom de suette militaire, dont l’agent microbien est encore, à ma connaissance, inconnu ; il provoque après une courte période d’incubation, 12 à 24 heures, une fièvre violente, 40 à 41°, très pénible durant les deux à quatre jours de la période d’invasion ; puis suit une période de cinq à huit jours durant laquelle une éruption abondante, à apparence de rubéole ou de scarlatine, se produit sur la nuque, le dos et la poitrine ; des phénomènes nerveux accompagnent ces états successifs, puis la desquamation se fait entre le huitième et le quatorzième jour. La morbidité était souvent faible, mais avait parfois atteint 35, 50 et même 80% des cas.

La fièvre putride d’autrefois me parait englober ce qu’on appelle aujourd’hui la septicémie et l’infection purulente, infections très voisines, la première n’étant que le premier stade de la seconde. Elles seraient une et l’autre provoquées par le streptocoque, seul ou associé au vibrion septique qui vivent à la surface des plaies non désinfectées, puis pénètrent dans l’intérieur des vaisseaux pour provoquer une infection généralisée et la mort le plus souvent, avec fièvre plus ou moins intermittente, mais toujours très élevée. Comme autrefois on avait aucune notion d’hygiène, ni désinfectants efficaces, normalement chaque plaie, chaque accident grave, ou même une simple piqûre ou écorchure devenaient la cause de bien des morts après huit à quinze jours de lutte de l’organisme.

Les fièvres catharrales dont parle le subdélégué de Montaigut, étaient celles produites par les inflammations aiguës ou chroniques de toutes les muqueuses, c’est-à-dire bronches, estomac, intestins, vessie, oreilles, etc…, avec augmentation des sécrétions normales ; mais, sans doute il voulait surtout parler des maladies des bronches et des poumons : simples trachéites, bronchites aiguës, soit produite par les microbes vulgaires de l’inflammation, soit spécifiques, étant un symptôme de la grippe, de la thyroïde, de la rougeole, de la coqueluche, de la tuberculose ; les bronchites capillaires, et broncho-pneumonies, les pneumonies et sans doute toutes les affections pulmonaires telles que les congestions pulmonaires, les pleurésies, etc…

Quelques lignes sur la petite vérole, que nous appelons aujourd’hui variole. Cette maladie est caractérisée par l’apparition sur le visage d’abord, sur le corps ensuite, de petites tâches rouges qui deviennent des boutons, puis des pustules dont le liquide se transforme peu à peu en pus. Enfin, le pus sèche et tombe, laissant à la place des cicatrices caractéristiques qui rendaient les gens d’une laideur si remarquable, quand ils n’en mourraient pas.

La vaccination obligatoire en France qu’on en fait aujourd’hui dans les première, dixième et vingtaine années, préserve de ce fléau d’autrefois dont les épidémies terribles entrainaient la mort de 50 à 75% de ceux qui en étaient atteints, des familles entières parfois, et à tout âge. Le tiers des gens qui en avaient survécu gardaient dons le sur le visage des signes bien apparents, des trous caractéristiques.

J’ai cherché à savoir la proportion de gens qui en avaient été atteints sans en mourir grâce au signalement des volontaires de la levée de 300.000 hommes en mars 1793, chiffres des quelques quarante communes d’entre Cher et Sioule que j’a étudiées (A.D. P.-de-D., série l, l. 4826).

Ces chiffres représentent de 30 à 50% des jeunes, recrues de 18 à 25 ans environ, non mariés encore, qui, ayant été atteints de variole en étaient guéris. Mais on constate des différences énormes de pourcentage. Ainsi, dans les communes du canton de Montaigut, de même qu’à La Cellette, à Saint-Maigner, au Montel-de-Gelat, à Ayat, à Châteauneuf, où on émigre peu, on atteint souvent à peine 20%, alors qu’à Bussières-de-Pionsat, Rochedagoux, Château-sur-Cher, Saint-Maurice-de-Pionsat, Vergheas, Saint-Gervais, Gouttières et Saint-Priest-des-Champs où l’on émigre beaucoup comme maçons dans la vallée de la Saône et le Lyonnais ou la Limagne, on atteint 50% et plus. Toutefois on ne saurait être affirmatif sur ce point : Biollet, Charensat, Villosanges, pays aussi d’émigrants-maçons, étaient peu atteints. On pourrait considérer aussi les lieux de passage et d’arrêts de voyageurs, dans lesquels, bien qu’on émigre peu, il y a un fort pourcentage de conscrits marqués par la petite-vérole. Ce serait le cas de Montaigut même où on enregistre 48% ; mais alors, pourquoi le Montel-de-Gelat qui parait surtout vivre de son commerce frauduleux de sel avec les innombrables faux-sauniers qui viennent charger leurs chevaux dans la région, a-t-il un si faible pourcentage ?

Les maladies les plus courantes

Revue d’Auvergne – J. SEMONSOUS, Comment on soigne au XVIIIe siècle entre Cher et Sioule

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 22:57

Comment les PP. Jésuites combattaient les Épidémies

en 1630 dans leur Collège d'Angoulême

Les PP. observent avec soin les principes d'hygiène. Comme les épidémies sont fréquentes, ils ferment au besoin leur collège aux fortes chaleurs, avant la date des vacances. En temps de peste, ils "envoient aux champs" les religieux atteints et ceux qui sont les plus jeunes et les plus délicats ; de plus, ils ferment les écoles, cessent les confessions, sauf pour les fidèles qui viennent de loin mais qu'ils entendent à part "en garnissant les confessionnaux de jalousies en papier" ; évitent les maisons infectées et ne sortent en ville "qu'avec des habits parfumés avec une éponge imbibée de fort bon vinaigre".

Il faut que le collège s'approvisionne de vinaigre et de bon vin, de thériaque, de vieille confiture d'hyacinthe, de terre sigillée, d'eau thériacale, de pierre de bezoard, d'eau impériale, d'opiat de Salomon, de levain et autres drogues nécessaires.

Il est recommandé de prendre, le matin, deux fois par semaine, deux drachmes de thériaque ou deux scrupules de pilules de Rufin et de s'abstenir des aulx, oignons, concombres, melons, raisins, fruits, laitage, excepté le vieux fromage.

Il faut parfumer la maison de genièvre, n'ouvrir les fenêtres qu'après le lever du soleil, les fermer de bonne heure le soir, et tuer les chiens et les chats.

En cas d'atteinte, on doit user des remèdes suivants Thériaque, cataplasmes de beurre, levain et oignon de lis, scarification pour les bubons, ventouses, application sur les plaies du dos d'une poule garnie d'un grain de sel ou d'un petit chien fendu par le milieu, mixture faite de suie, de jaune d'œuf et de sel.

 

 

(D'après Boissonnade et Bernard, Histoire du Collège et du Lycée d'Angou1ême.

Communiqué par L. Bertrand, directeur d'école à La Rochefoucau1d.

Bulletin départemental de la Charente, Études locales, 1re année, n. 5, novembre 1920.)

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